Eté 2017, n°55: La santé-business Santé. La notion résiste victorieusement aux tentatives de délimitation. De l'absence de maladie ou d'infirmité à l'état de complet bien-être physique, mental et social, du normal au pathologique, ses limites ouvrent plus de perspectives qu'elles ne tracent de frontières. Et chacun en redessine quotidiennement les contours individuels au gré de la crainte ou de la survenue de maladies ou de handicaps mais aussi du désir de performance ou de jeunesse prolongée... Cycle 2017 des Tribunes de la santé Conférence à venir du cycle 2017 des Tribunes de la Santé, Les "régulateurs" de la santé: 23 novembre: La santé devant l'Autorité de la concurrence Isabelle de SILVA, Présidente de l'Autorité de la concurrence Inscriptions obligatoires Tribunes de la Santé n°53 Dernier numéro (hiver 2016, n°53): Un quinquennat de santé (2012-2017) Que retenir, dans le domaine de la santé et de l'assurance maladie, des années 2012-2017? Des législations, Sur un plan législatif, à commencer par la loi de modernisation de notre système de santé du 26 janvier 2016 et l'instauration du tiers payant en médecine de ville.
Accueil Les Tribunes de la santé 44, automne 2014 Les femmes et la santé Première édition Si La problématique de la santé est, malheureusement, la même pour les femmes et les hommes, il existe aussi des spécificités. Des combats féministes dans le champ de la santé, aux politiques publiques de lutte contre les violences faites aux femmes, le champ de l'action citoyenne comme de l'intervention politique est considérable. Lire la suite Les femmes et la santé. Le thème de ce nouveau numéro des Tribunes de la santé peut paraître démesuré. La problématique de la santé pour la moitié de l'humanité est, d'abord et malheureusement, la même que celle de l'ensemble de la population mondiale. Femmes et hommes sont soumis aux ravages des maladies infectieuses dans les pays les plus pauvres, aux inégalités sociales de santé, aux inégalités d'accès à la prévention et aux soins, aux fardeaux des toxicomanies de toute nature, aux risques d'accidents du travail et de maladies professionnelles, aux pathologies de la dégénérescence liées à l'avancée en âge… Pourtant, il y a aussi des spécificités, des inégalités liées aux différences de genre, des comportements et même des législations placées sous le signe de stéréotypes qui ne parviennent pas à s'effacer.
La rupture, notamment avec le corps médical, s'est d'emblée avérée profonde, les médecins refusant toute forme de « maîtrise comptable ». Leur mécontentement persiste lors de l'arrivée de la gauche au pouvoir, en juin 1997. Le gouvernement, désireux de ne pas abandonner l'objectif de maîtrise des dépenses tout en cherchant à apparaître en rupture avec le plan Juppé, cherche un moyen de sortir de cette difficulté. Bernard Kouchner a l'idée de transformer le grand débat avec les médecins annoncé par le Premier ministre en « États généraux de la santé » s'adressant à tous les usagers… Cet article traite des liens entre la tenue des États généraux de la santé (EGS) entre mars 1998 et décembre 1999 et la loi « Droits des malades » du 4 mars 2002, élément fondateur du concept de démocratie sanitaire. Il analyse le contexte social et politique qui a déterminé l'émergence de ces États généraux, les méthodologies envisagées et la logistique déployée pour l'organisation des débats, les conditions de leur déroulement dans le temps et au sein des territoires, leurs résultats et leur aboutissement sous la forme du discours de Lionel Jospin du 30 juin 1999 annonçant une loi sur les droits des malades.
Les investissements publics en matière de santé sont très importants depuis plusieurs décennies toutefois l'accueil et la prise en charge des patients restent de réels défis dans le secteur de la santé.
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