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Bien que les élèves de deuxième et troisième cycle du primaire soient les plus impliqués dans les activités du laboratoire, tous les enfants y seront initiés dès la première année. Catherine Grégoire, directrice de l'école Saint-Étienne, se réjouit de la nouvelle. «Sans le soutien de la fondation evenko, il aurait été impossible pour nous d'offrir un laboratoire technologique de cette ampleur aux élèves. C'est une chance inouïe pour eux de combiner leur passion pour la musique et la technologie et conséquemment, de se surpasser au niveau créatif et musical! » Mercredi, les Trois Accords ont rencontré les jeunes pour discuter de la création musicale via la technologie. «Nous sommes vraiment impressionnés par la passion des jeunes et de leur enseignant pour la musique. Photographie de rue à Paris ▷ benoit-rousseau.com. Sa volonté de mettre à profit leur créativité confirme que la relève a beaucoup de potentiel. C'est très motivant d'être témoin de l'enthousiasme des élèves et de discuter de musique avec eux», ont souligné les membres du groupe drummondvillois.
Je m'appelle Benoît Monjanel et je suis dans la photographie depuis 2006. J'ai créé the Lightographist pour montrer ce que je fais et surtout pourquoi je le fais. Je travaille essentiellement comme photographe personnel pour les mariages, les naissances, les fiançailles. J'aime également couvrir toute sorte d'évènements (concerts, danse, théâtre, séminaires d'entreprises). Un laboratoire technologique pour l'école Saint-Étienne - L'Express. Le plus difficile pour moi dans cette passion est de me relier à l'architecture et aux paysages, bien qu'ils soient immobiles se sont les sujets les plus difficiles. Mes travaux ont tous en commun un regard bienveillant et discret sur les choses. Cette discrétion permet de laisser toute la place au caractère sincère et vrai des images que je produis. Je me considère comme un artisan plus que comme un artiste. Là où, à mon sens, un artisan adaptera sa façon de travailler à la contrainte en vue d'obtenir le résultat de la meilleure qualité possible, un artiste n'hésitera pas à transgresser la contrainte pour la soumettre à son projet en faisant fi du résultat, puisque pour lui c'est l'acte de création le plus important.
« C'est vraiment, pour que les élèves n'aient pas de limite dans leur pratique, parce qu'un vieil instrument, à un moment donné, le potentiel et le talent de l'élève se rendaient jusqu'à la limite de l'instrument. Là, de nouveaux instruments, ça va leur permettre justement de dépasser leur propre limite, de s'améliorer et de persévérer dans la pratique musicale », explique Nathalie Roberge, directrice générale de la fondation evenko. Benoit rousseau photographie http. Invité surprise En plus de recevoir en dons, des toms de concerts, un pied de caisse claire, pied de Hi-Hat, timbale, hautbois, clarinettes, flutes avec patte de si, trompettes, trombone, les jeunes musiciens ont également eu la surprise de rencontrer et de discuter avec Alain Trudel, chef d'orchestre de l'Orchestre symphonique de Laval. « Les élèves ont bu ses paroles. C'était un exemple de motivation, d'inspiration, de persévérance scolaire et même un modèle de vie. Il expliquait aux jeunes que ça prend des efforts dans n'importe quoi, que tu sois musicien ou en sport, du moment où tu arrêtes tes efforts, c'est sûr que ton résultat va baisser, et à l'école, c'est la même chose », raconte Nathalie Roberge.
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