Le juge qui va se retenir en écoutant tout ça Victime de harcèlement en ligne: comment réagir?
Ils "ont été formidables, ils auraient pu préférer ce garçon BCBG à l'enfant de la Ddass qu'était Ivan Levaï, dont je fus plus tard éprise, mais il n'en fut rien. " Ivan Levaï est aujourd'hui remarié à Catherine Turmot. Crédits photos: AGENCE / BESTIMAGE
Des chercheurs de Philadelphie se sont penchés sur la question et ont étudié les réactions de 286 paires de jumeaux face à la coriandre, ils se sont aperçus que dans presque tous les cas, les deux jumeaux décrivaient la même chose (qu'ils aiment ou n'aiment pas). De fait, ces résultats font écho à la recherche d'autres scientifiques américains, de Moutain View cette fois: ces derniers lient la perception de la coriandre à un gène olfactif, le OR6A2. Ce gène là est un "récepteur" du goût et des odeurs, c'est lui qui transforme l'information reçue par la bouche ou le nez vers le cerveau. Le goût du fer dans la bouche est associé à une maladie sous-jacente - Francoeur. En somme, il décrit ce qu'il sent ou vient de manger. Or, ce gène ne fonctionne pas de la même manière chez tout le monde, chez certains il est très actif et chez d'autres moins. Ceux qui lui trouvent un goût de savon ont un peu raison! Ce qui est intéressant avec OR6A2, c'est qu' il réagit avec une molécule, appelée aldéhyde, que l'on retrouve dans la coriandre mais aussi... dans le savon! Donc, chez certaines personnes, ce gène entraînerait une sorte d'amalgame autour de ce composant chimique et associerait la coriandre à la mauvaise case de notre bibliothèque olfactive: à quelque chose de non comestible.
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