Dans une casserole, verser le lait. Y ajouter le beurre. Porter à ébullition. Verser doucement petit à petit le lait bouillant sur le mélange farines/sucre, sans cesser de remuer. Laisser refroidir une bonne heure (sinon les œufs vont « cuire ») Préchauffer le four à 180° Ajouter les œufs, la fleur d'oranger, les zestes d'orange, l'Amaretto, l'Armagnac. Bien mélanger. La pâte doit être lisse et sans grumeaux. Mettre dans un moule (si possible rectangulaire ou carré) puis au four à 180° pendant 45 minutes environ. Vérifier la cuisson en plantant la lame d'un couteau qui doit ressortir sèche. Millas - Pourdebon. Au moment de servir, faire caraméliser les parts à la poêle avec un peu de sucre et flamber à l'Armagnac. Je l'ai servi accompagné d'une compotée de cerises maison. Une autre recette de millas au potiron ici.
Dès que le lait bout, on délaye la farine de maïs en la versant, poignée par poignée, en pluie. Des bras vigoureux sont nécessaires car Il s'agit de remuer énergiquement pour éviter la formation de grumeaux. On s'aide, à cet effet, de la « todelha », la toudeille, un long bâton avec des ergots qui a été fabriqué avec une cime de buis dont les branches terminales, 5 en général, ont été coupées à une dizaine de centimètres. Millas au chaudron. (... ) Au bout d'une bonne demi-heure, il est temps d'ajouter, toujours en pluie, la farine de blé, en continuant toujours de remuer pour éviter que la pâte « se prenne » au fond du chaudron. Compte tenu de la grandeur du chaudron, la cuisson voisine les deux heures. A une demi heure de la fin, on ajoute les morceaux de beurre, le sucre, la vanille ainsi que le rhum. L'eau de vie de prunes de la ferme fait aussi l'affaire. ( Encre violette) Millas ariégeois: Recette trouvée ici et là pour la photo 280 g de farine de maïs 1 poignée de farine de blé 2l d'eau 70 g de beurre 70 g de sucre 2 pincées de sel 1/2 verre de fleur d'oranger (ou moitié/moitié d'eau de vie de prune ou remplacer par du rhum) Tamiser les deux farines dans un saladier.
- Laisser refroidir. ANNEXE Témoignage extrait du journal tarnais « Sur le banc » n° 15, 1° semestre 2008 La parole aux résidents. Le Millas « Je me souviens, chez nous, on faisait du Millas. C'était bon, on se régalait… On mettait de l'eau à chauffer dans une marmite ou un chaudron sur le feu dans la cheminée. On y mettait un peu de sel. Lorsque l'eau était chaude, tout en remuant avec une palette en bois, on versait la farine de maïs en pluie. Il ne fallait pas faire de grumeaux. La pâte s'épaississait. C'était dur à remuer, il ne fallait pas s'arrêter car elle risquait de brûler. Pour la cuisson, cela dépendait du feu. On avait l'habitude, on le voyait, on le sentait. Lorsque la pâte était cuite, on mettait un torchon sur la table, sur lequel on versait la préparation qui en refroidissant devenait ferme. Millas au chaudron au. Parfois, on le mettait dans des assiettes creuses, tout dépendait de la quantité. Une fois figé, on le mangeait en remplacement du pain, ou on coupait des tranches fines que l'on faisait frire à la poêle avec un peu de sucre.
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Dans la cheminée le feu crépite, dans le chaudron on met l'eau ou le lait, le sel et la graisse, on attend l'ébullition. Quand les moyens ou la situation le permettaient l'eau était remplacée par le lait. Comme de bien entendu le goût est plus agréable avec le lait et ce qui permettait d'utiliser tout le lait. Une fois l'eau (ou lait) bouillante on incorpore la farine lentement en pluie, tout en touillant pour éviter les grumeaux. On continue à chauffer toujours en touillant sans jamais arrêter jusqu'à obtention d'une « pate ». Millas au chaudron france. Au final pour a voir la bonne consistence il faut que la toudeilho tienne dedans toute seule. Effectivement ca peut prendre un temps certain voire un certain temps. Bien évidemment cela dépend des dosages et de la vivacité du feu mais il faut une température adaptée. Donc il ne faut pas avoir peur de touiller. Une fois la texture voulue obtenue, l'étaler sur une plaque pour avoir une épaisseur de 1 à 2 cm. Maintenant on le laisse refroidir et durcir. Le millas la dégustaion Pour le consommer on découpe le millas en part.
On se régalait, c'était notre dessert. Parfois, on le faisait griller sur une grille directement sur le feu, j'en mangerais bien… » Madame Hélène SOUAL - Maison de retraite Saint-Vincent – BLAN SOURCES - Enquête familiale - 2 reportages vidéos: et - Témoignage dans le quotidien: PHOTO Recette de Millas:
Maison À Vendre Hoymille, 2024