Dans la … Continue reading → Tagged Benoît de Sarcus, Benoîte Groult, Caroline Sahuquet, Chantal Birman, Delphine Biard, Distilbène, endométriose, examen gynécologique, fausse-couche, Flore Grimaud, Israël Nisand, IVG, James Marion Sims, Madame de Coudray, maltraitance gynécologique, Manufacture des Abbesses, Mary Smith, Mélanie Déchalotte, spéculum, théâtre, violences obstétricales Tournée au Québec du 26 septembre au 4 octobre C'est avec beaucoup de bonheur que j'interviendrai au Québec à la fin du mois. Voici les dates de mes différentes interventions. Merci à toutes les militantes québécoises pour leur accueil chaleureux. Je me réjouis de vous rencontrer. Un examen gynécologique filmé en caméra cachée. L'interview de la réalisatrice Nina Faure. Après les blogs, les réseaux sociaux, la presse écrite et les émissions radio, un nouvel outil de dénonciation des maltraitances gynécologiques et obstétricales émerge: le documentaire vidéo. Le blog de Marie-Hélène Lahaye | Le Club de Mediapart. Il y a quelques jours, le court documentaire Paye (pas) ton gynéco … Continue reading → Tagged #PayeTonUtérus, Bernard Hédon, caméra cachée, documentaire, examen gynécologique, Israël Nisand, maltraitance gynécologique, Nina Faure, Paye (pas) ton gynéco, pouvoir, pouvoir médical, rapport du HCE, sexisme, vidéo Rencontres en février au Havre, à Paris, à Liège et à Bruxelles Durant le mois de février, j'aurai le plaisir de participer à plusieurs rencontres et débats sur le thème de l'accouchement, successivement au Havre, à Paris, à Liège et à Bruxelles.
La création de l'APAAD début janvier 2019 résulte du constat qu'en France, les droits des femmes et des sages-femmes sont mis à mal depuis trop longtemps. L'existence de l'APAAD se fonde sur les Droits Universels des êtres humains ainsi: o Les femmes ont le droit de choisir où, comment et avec qui elles souhaitent accoucher. o Les sages-femmes on le droit de dispenser leurs soins, en indépendance, dans tous les champs d'activité de la compétence sage-femme.
Flore a dépassé son terme. Elle est « à point », dit-elle, et plutôt impatiente d'expulser le petit être qui squatte son ventre rond. Pour tuer le temps, elle fait défiler son flux Instagram, envahi de récits de grossesses et d'accouchements. Ils proviennent d'influenceuses, comme Lindsey Meehleis, mais aussi de comptes dédiés comme celui de Carriage House Birth, un centre d'accompagnement des naissances créé par Domino Kirke à Brooklyn. Ici, le hashtag #NoFilter n'a pas besoin d'être précisé. Les photos sont crues, frontales. Blog marie accouche là jean. Rien n'est épargné: douleur, épisiotomie, expulsion du placenta... Sur YouTube aussi, des blogueuses comme Channon Rose chroniquent ce moment de vie, des premières contractions jusqu'aux difficultés de l' allaitement. Des témoignages qui tranchent avec les images d'Épinal de la maternité. Il n'empêche, à voir le nombre d'abonnés (800 000) du compte Instagram Healthy Pregnancy, les réseaux sociaux sont devenus le lieu d'une nouvelle parole sur l'accouchement, entre fascination et terreur.
Le contexte actuel est l'occasion rêvée de mettre fin à l'ostracisme contre ces sages-femmes qui se placent réellement du coté des femmes. Malheureusement, l'Ordre des Sages-Femmes préfèrent une fois de plus faire les yeux doux aux médecins plutôt que défendre l'essence de cette profession qui devrait être pleinement orienté vers le soutien aux femmes qui accouchent. Les femmes se rebellent Face au positionnement autoritaire de maternités, des femmes s'organisent. Elles ne sont plus les soumises d'il y a 30 ans qui acceptent sans broncher l'autorité et le paternalisme des médecins. Des pétitions pour réclamer la présence du deuxième parent sont en ligne ( ici pour la France et ici pour la Suisse). Certaines futures mères envisagent des recours juridiques contre des hôpitaux qui les empêcheraient d'être accompagnées. Marie Accouche Là - YouTube. Il est même probable que certains couples utilisent des méthodes radicales, telles que celle consistant à comme venir menottés à la maternité pour ne pas être séparés. En désespoir de cause, il est certain que des femmes préféreront accoucher seules chez elles.
De vivre cet évènement très particulier qu'est l'accouchement de la façon la meilleure qui soit pour elle. C'est plus un choix individuel, librement réfléchi et grâce à toute l'information qui est toujours disponible, de nombreuses femmes comprennent que c'est un choix qui est tout à fait légitime et tout à fait sécurisé, à condition qu'elles trouvent bien sûr une sage-femme pour les accompagner. Il n'est pas toujours simple de trouver des sages-femmes? Marie accouche là | Le Club. En France, il y a un manque de sages-femmes, parce que cette pratique de l'accouchement à domicile a été violemment réprimée par les pouvoirs en place. "Il y a une chasse aux sorcières, qui a fait qu'en quelques années une grosse partie des sages-femmes qui accompagnaient les femmes à domicile ont quitté la profession pour des questions d'assurances professionnelles. " Marie-Hélène Lahaye, auteure à franceinfo C'est ça le véritable souci parce qu'il y a une demande de femmes. Il y a beaucoup de sages femmes qui seraient prêtes à reprendre ce travail ou à s'investir dans cette profession, à condition que ce soit dans de bonnes conditions, qu'elles aient accès à des assurances professionnelles, que le ministère de la Santé les soutienne et qu'il y ait la capacité pour elles de s'investir dans un réseau de professionnels.
Une surenchère que constate aussi Clémentine Galey: « Une notion de réussite a émergé avec le retour à l'accouchement naturel. Cela devient un défi personnel. » Quoi qu'il en soit, la priorité de Flore (en salle de travail à l'heure où nous bouclons) est d'accoucher sans souffrance et sans complications d'un bébé en bonne santé. « Pour le concours d'utérus, on verra plus tard », plaisante-t-elle. Blog marie accouche là grace. Jeanne, elle, préférerait qu'on la prépare à l'après: les lochies, les contractions de l'allaitement, le baby-blues. Et met le doigt sur le dernier tabou à lever: le post-partum. * Grâce à la pétition qu'elle a lancée fin 2017 sur, Instagram et Facebook n'assimilent plus ces images à de la pornographie. Cet article a été publié dans le magazine ELLE du 16 novembre 2018. Abonnez-vous ici.
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