Réduite à sa plus simple expression, cette construction cubique de parpaings gris, démesurée, ne cache aucun secret... Robert Carsen, Marko Letonja - Strasbourg - 03/10/2013 - De la maison mortelle... De la maison des morts opera de paris summer intensive. Un rapide examen de la situation du monde lyrique actuel pourrait conduire le mélomane à conclure que la pente naturelle des mises en scène modernes consiste à favoriser les transpositions dans des... De la Maison des Morts - Franz Welser-Möst, Peter Konwitschny, Misha Didyk, Christopher Maltman - Vienne (Staatsoper) - 14/12/2011 - Janacek chez les mafieux Après Tcherniakov qui désacralisait Dialogues des Carmélites à Munich en 2010 (cf. notre compte-rendu) ou Stanislas Nordey qui faisait de même à Bastille en 2004 avec Saint François d'Assise, voici... Ingo Metzmacher, Peter Konwitschny, Peter Straka, Reinaldo Macias - Zurich - 25/06/2011 - Mortel! De la maison des morts est l'œuvre que l'on retrouva sur le bureau de Leoš Janáček après son décès (le troisième acte). Qu'il n'ait pu donner à l'opéra sa forme définitive (bien que des versions «... Bohumil Gregor - Supraphon - CD - 31/01/2009 -
Chœur de l'Opéra national de Paris (chef de chœur: José Luis Basso). Orchestre de l'Opéra national de Paris, direction: Esa-Pekka Salonen. Un « nouveau spectacle » aujourd'hui âgé de 10 ans: la communication de l'Opéra de Paris fait preuve d'un certain humour autour de cette production de De La Maison des morts devenue une référence depuis sa création aux Wiener Festwochen grâce au regard particulièrement juste de Patrice Chéreau. Pierre Boulez n'est plus à la baguette, mais pour cette première à Paris, la lecture saisissante d' Esa-Pekka Salonen sublime le lyrisme déchirant et la nervosité incessante de cette œuvre. « Il ne se passe rien » dans cet opéra de Leoš Janáček. C'est vrai dans un sens. Librettiste tout autant que compositeur, cette figure artistique emblématique tchèque rompt en effet sans détour avec la forme traditionnelle de la narration. De la maison des morts opera de paris palais garnier. Pas d'intrigue. Pas de personnage principal. À part peut-être l'arrivée et le départ de Goriantchikov (agrémenté par la présence d'un aigle blessé, puis par son envol), pas vraiment de début.
C'est dans une constance de mouvements et de déplacements que cette force se dégage, la mise en scène faisant preuve d'une parfaite précision dans le traitement de cette masse. Le vide… On en est désormais loin.
Maison À Vendre Hoymille, 2024