Publié le 4 févr. 2020 à 12:00 Mis à jour le 4 févr. 2020 à 17:26 Les effets du boom démographique de l'an 2000 jouent à plein dans l'enseignement supérieur. Les effectifs sont « en progression constante », relève le ministère de l'Enseignement supérieur à la lecture de ses dernières statistiques. A la rentrée 2018, 2, 7 millions d'étudiants se sont inscrits dans l'enseignement supérieur, en France métropolitaine et dans les départements d'outre-mer. C'est la dixième année de hausse consécutive. Une grande université en pleine croissance d effectifs de rennes et. Et celle de l'année universitaire 2018-2019 a été particulièrement « forte », à +2, 1% (+56. 300 inscriptions) par rapport à 2017. En cinq ans, l'enseignement supérieur a accueilli près de 220. 000 étudiants supplémentaires. A titre de comparaison, entre 2008 et 2013, la progression avait déjà été de 198. 000 étudiants. « Inflexion de tendance » en faveur de l'université La hausse, due au nombre plus important de bacheliers de 2018, a concerné toutes les formations, hormis les classes préparatoires aux grandes écoles et le doctorat.
Et ses restaurants sur le campus ont quintuplé, passant de cinq à 25. Il a investi environ 1, 7 milliard de dollars dans des bâtiments neufs et rénovés et en a planté environ 7, 000 arbres, dit Calvin Jamison, vice-président pour les installations et le développement économique. "Les robots sont le prochain horizon naturel dans l'évolution d'UT-Dallas, " a déclaré Jamison. "Nous sommes très créatifs, jeune université high-tech fêtant ses 50 ans, et ce service tel que nous le voyons continuera à améliorer le corps professoral, l'expérience du personnel et des étudiants. " Et, il ajouta, il est plus facile pour les robots de se déplacer sur le campus puisque bon nombre de ses trottoirs sont neufs. Une université en pleine croissance - Le Parisien. Aaberg, qui a aidé à concevoir un t-shirt avec les robots, ont déclaré qu'ils convenaient parfaitement à une université comptant de nombreux étudiants intéressés par la technologie. Par exemple, il ajouta, UTD a une équipe pour l'esport, mais pas pour le foot. "Nous vivons en quelque sorte dans cette ère plus futuriste, " dit-il. "
Le secteur de la formation tertiaire a même bondi depuis une décennie, puisqu'il s'y ajoute les jeunes qui fréquentent, en général après avoir passé la maturité professionnelle, les hautes écoles spécialisées (HES). Selon l'Office fédéral de la statistique, la croissance des effectifs devrait se poursuivre. D'un peu plus de 180000 aujourd'hui, le public des hautes écoles - universités, EPF et HES - devrait grimper à 200000 en 2012. L'ouverture, dès cette année, de voies de masters dans les HES va aussi contribuer à l'élévation du nombre d'étudiants. Une grande université en pleine croissance d effectifs du commissariat pour. Mais attention, avertissent les experts, il y aura ensuite l'amorce d'une décrue (lire en page 18). A ce moment-là, il est à prévoir que la concurrence entre les hautes écoles grandira, en particulier pour capter les étudiants étrangers. Pour les rectorats, ces chiffres ont néanmoins toute leur importance. D'abord parce que les hautes écoles reçoivent leurs subventions fédérales sur la base d'un calcul incluant le nombre d'ouailles, entre autres critères.
20% d'étudiants dans l'enseignement supérieur privé Dans ce paysage très dynamique, la progression des inscriptions dans l'enseignement supérieur privé s'envole, avec +3, 9%, contre +1, 7% dans l'enseignement public. Avec 540. 900 étudiants accueillis, l'enseignement supérieur privé a franchi la barre symbolique des 20% d'effectifs du supérieur. En un an, les écoles d'ingénieurs privées ont vu leurs effectifs bondir de 9, 2%, et les écoles de commerce, de 7, 7%. « Depuis vingt ans, les inscriptions dans l'enseignement privé ont doublé tandis qu'elles n'ont augmenté que de +14% dans le secteur public », relève l'étude ministérielle. Dans ce contexte, les classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) font plutôt pâle figure. Leurs effectifs n'ont augmenté que « modérément » depuis quinze ans, souligne le ministère: de 70. La formation continue de l'université en pleine croissance | LNC.nc | Les Nouvelles Calédoniennes, le Journal de Nouvelle Calédonie. 300 inscrits à la rentrée 2000 à 86. 500 en 2016. A la rentrée 2017, le nombre d'étudiants y est resté stable, avant de reculer, l'an dernier, de 1, 6%. « Sur les cinq dernières années, la croissance des effectifs de CPGE est de +2% tandis que celle du total des inscriptions dans l'enseignement supérieur est de +11% », pointe l'étude ministérielle.
Beaucoup ne sont pas persuadés de l'intérêt de limiter les naissances y compris au plus haut niveau de l'État, même si ce n'est pas le discours officiel tenu aux organisations internationales. C'est là une des différences avec l'Asie et l'Amérique latine des années 1960 et 1970 et l'un des obstacles à lever si l'on veut que la fécondité baisse plus rapidement en Afrique subsaharienne. 7,7 milliards d’humains en 2019 : sommes-nous trop nombreux sur Terre ? | Forum Économique Mondial. À long terme: l'explosion, l'implosion ou l'équilibre? Au-delà des cinquante prochaines années, l'avenir est en revanche plein d'interrogations, sans modèle sur lequel s'appuyer. Celui de la transition démographique, qui a fait ses preuves pour les évolutions des deux derniers siècles, ne nous est plus guère utile pour le futur. L'une des grandes incertitudes porte sur la fécondité. Si la famille de très petite taille devient un modèle dominant de façon durable, avec une fécondité moyenne inférieure à deux enfants par femme, la population mondiale, après avoir atteint le niveau maximum de dix milliards d'habitants, diminuerait inexorablement jusqu'à l'extinction à terme.
Lequel, d'ailleurs, n'exclut pas à l'avenir de faire construire de nouvelles universités de proximité dans des villes moyennes qui en sont dépourvues. La tendance, aujourd'hui, est pourtant à la réduction, par fusion, de leur nombre… Les universités des métropoles ne sont pas les seules à faire le plein cette année. En visite en Picardie, mardi, M. Mandon a pu se rendre compte que celle de Valenciennes prévoyait une hausse de 14% des inscrits en première année de licence, et celle d'Amiens une progression de 20%. Des comptages récents de la Conférence des présidents d'université indiquent une hausse généralisée pouvant aller jusqu'à 26%, et un regain d'intérêt pour les filières scientifiques en déclin ces dernières années. Une grande université en pleine croissance d effectifs et. « Une augmentation des droits d'inscription dissuade les jeunes des milieux défavorisés d'entamer des études supérieures » « C'est une rentrée charnière », résume M. Mandon: le pays bascule dans la « société de la connaissance » plus rapidement que prévu. Le rapport sur la stratégie nationale de l'enseignement supérieur, rendu le 8 septembre au président de la République, envisageait cette perspective à l'horizon de dix ans, en fixant l'objectif de 60% d'une classe d'âge diplômée du supérieur en 2025 (contre 44% actuellement).
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