« Neuromancien », de William Gibson, 1984 Pionnier du mouvement cyberpunk, William Gibson est aussi le Nostradamus de la tech. Dans son ouvrage « Neuromancien » (« Neuromancer » en anglais), paru en 1984, il dessine les contours du « cyber espace », qu'il définit comme une « hallucination consensuelle vécue quotidiennement par des dizaines de millions d'opérateurs ». On y suit le parcours de Case, un pirate informatique connecté à cet espace virtuel. Ce pré-métavers brouille les pistes entre virtuel et réel, alors que le monde terrien est en proie aux excès des multinationales. "Inattendu, miraculeux" : dix-sept œuvres légendaires du mouvement des "Arts incohérents" découvertes dans une malle chez des particuliers. Un roman éminemment engagé et visionnaire. « Neuromancien », Au diable vauvert, 2020, trad. Laurent Queyssi DR « Le Samouraï virtuel », de Neal Stephenson, 1992 « Snowcrash » (« Le Samouraï virtuel » en français) paraît en 1992, aux balbutiements d'Internet. L'histoire se concentre sur Hiro, un hacker qui voyage entre le monde réel et le monde virtuel. C'est la première fois qu'une oeuvre emploie le terme de « métavers ».
Horacio Garcia Rossi – Boîte à lumière instable Il a également créé des écritures lumineuses changeantes. Voir dossier sur Horacio Garcia Rossi. Julio le Parc – Cloison à lames réfléchissantes (1965) Julio le Parc utilise des lamelles de plexiglas, que le spectateur doit traverser. Il a également fait des recherches sur les murs lumineux et des espaces à pénétrer. Le mouvement et la photographie d'art - New Concept Art Photo Selling. Voir également: Cellule avec miroirs courbes et lumière en mouvement – 1963-2005 Francisco Sobrino – Structure permutationnelle (1965) Francisco Sobrino structure permutationnelle. Modules en plexiglas emboîtés, le spectateur peut lui même réaliser d'autres configurations. Dans la cadre de la Biennale de Paris de 1963, le GRAV a réalisé un labyrinthe collectif. Parcours ludique où le spectateur était amené à intervenir sur les oeuvres. Le 19 avril 1966, ils ont également imaginé une journée dans la rue. Nicolas Schöffer artiste d'origine hongroise après un doctorat en droit et des cours de peinture aux beaux art de Budapest s'installe à Paris en 1936.
Maison À Vendre Hoymille, 2024