La suite après la publicité Décliné en rouge (aux saveurs de fruits rouges très mûrs), en rosé (au goût de pamplemousse) et en blanc (au goût d'orange), il remplace très agréablement le Gin dans les cocktails. Mais attention, plutôt dans sa version rose ou blanche. 1/Dans un grand verre à cocktail, versez 5 centilitres de Lillet et 10 centilitres de Tonic 2/Ajoutez des glaçons et une rondelle de concombre (pour le Lillet Blanc) ou de citron vert (pour le Lillet rosé) 4/Le spicy Gin Tonic Pour relever un Gin Tonic classique, les Mexicains ont l'habitude d'y ajouter quelques tranches de jalapeño, un petit piment de force moyenne. Difficile à trouver sous nos latitudes, il peut bien sûr être remplacé par une sorte de piment. A doser selon les goûts de chacun. Dans sa version mexicaine, on ne va pas se mentir, ça arrache bien. La suite après la publicité 1/Dans un grand verre à cocktail, versez 1/3 de Gin et 2/3 de Tonic 2/Ajouter deux tranches de piment épépinée (c'est-à-dire sans pépin, c'est important) 2/Ajouter une feuille de basilic pour l'accord des saveurs et une tomate cerises pour adoucir.
Ingrédients Ustensiles ustensiles Préparation Réalisez la recette "Gin Tonic" directement dans le verre. Servir dans un tumbler, sur des glaçons. Verser le gin, remplir de tonic frais et remuer doucement une seule fois.. Servir dans un verre de type "tumbler". Garnissez selon les propriétés du gin, sinon une tranche ou un zeste de citron vert fera généralement l'affaire. Note de l'auteur Appelé aussi "Gin & Tonic", "Gin To" ou "G&T". En panne d'inspiration? Dans la même sélection Ajouter à mes carnets la recette Gin Tonic Choisir un carnet J'ajoute la recette à mes carnets Vous confirmez que cette photo n'est pas une photo de cuisine ou ne correspond pas à cette recette?
Qui pourrait penser qu'il a vu le jour en 1999? La recette du gin tonic: 4 cl de Gin Hendrick's 12 cl de tonic Un concombre Des glaçons Ce cocktail est à réaliser directement dans votre verre, je vous recommande un verre « tumbler ». Remplir le verre de glaçons, verser le Hendrick's puis le tonic, remuer doucement une seule fois à l'aide d'une cuillère à cocktail. Ajouter deux tranches de concombre pour la décoration. Et voilà! Même si je suis un amoureux de gin, je me suis parfois lassé de boire du gin tonic, pourtant chaque fois que j'ai eu l'occasion d'en consommer avec du Hendrick's la question ne se posait pas, c'est un grand classique en mixologie. Un cocktail pas si classique Le gin tonic à base de Hendrick's à vraiment quelque chose d'inexplicable et d'inhabituel. D'ailleurs, la marque se décrit elle-même comme étant « The Most unusual Gin » ( le gin le plus inhabituel). J'aime sa simplicité et sa complexité, les arômes de coriandre et de cumin finement soulignés par l'amertume du tonic.
Ajoutez deux ou trois glaçons et décorez d'une rondelle de kiwi. Servez bien frais. 6 / Le cocktail Gin Tonic Lavande et pamplemousse rose. Cocktail pour 2. Ce qu'il faut: 1 cl de sirop de pamplemousse rose 5 cl de tonic Orange Blossom & Lavender ( ici) 5 cl de jus de pamplemousse rose Glace pilée Comment faire: Versez dans la glace pilée, le gin, le sirop et le jus dans un shaker. Shakez énergiquement. Versez dans une coupe ou dans des shooters en glace. Décorez avec quelques pétales de roses. Céline Kistenberg
Difficile. Ca serait comme parler de Paris sans mentionner la Tour Eiffel! Qu'est-ce que le Gin? Le gin est une eau-de-vie née en Hollande au XVIIe siècle. D'abord connue sous le nom de « Genever ». Quand le roi hollandais Guillaume III s'est installé sur le trône d'Angleterre, celui-ci a emporté la formule de cette boisson qui a tout de suite conquis les Anglais. Les distilleries anglaises se sont mises à produire leur propre alcool, proche du Genever et baptisé « Gin ». On distingue aujourd'hui le Genever et le London Dry Gin Hendrick's, de la catégorie des London Dry Gin est un gin distillé dans un alambic du XIXè siècle au fin fond des terres écossaises dans la région de l'Ayrshire. On trouve dans sa composition un assemblage de différentes plantes botaniques qu'on retrouve généralement dans la conception du gin – la coriandre, les baies de genièvre, les racines d'angélique – mais aussi d'autres ingrédients plus originaux comme la rose et le concombre. Avec sa bouteille tout droit sortie du rayonnage d'un apothicaire et son étiquette vintage, le gin Hendrick's renvoie immanquablement l'inconscient du dégustateur à l'époque victorienne.
Alors? Vous voilà incapable de faire la différence entre chaque mixture, et votre air étonné de poule qui aurait trouvé un Opinel dans le grain me le confirme. Le «nouveau mojito» Cette expérience, Charles Rolls l'a tentée. Et l'ancien directeur de la distillerie Plymouth en a conçu l'idée des tonic Fever Tree, qui ont bouleversé le marché en partant d'un principe simple: si un gin to se compose aux trois quarts de tonic, c'est bien là qu'il faut choisir le meilleur. «Enfin… Pendant cent cinquante ans, on a bu du Schweppes et ça faisait bien l'affaire », corrige Danilo Grenci, qui s'apprête à ouvrir le Bluebird fin septembre, rue Saint-Bernard à Paris. Un «bar à cocktails qui mettra en avant le gin» et «ne servira pas de Spritz» (sauf si vous insistez). «Mais, à présent, je travaille plutôt avec un tonic italien, Lurisia, qui ajoute du genièvre, très frais et balsamique. Avec Fever Tree, bien sûr: j'adore leur Mediterranean. Et avec Three Cents, produit par des bartenders grecs. Cela permet de varier les drinks sans tomber dans les excès espagnols, où on t'apporte les sachets de botaniques à infuser dans ton verre.
On voit que le gin to devient le nouveau mojito, c'est reparti à fond. » Peut-on dès lors ressortir sans crainte les quilles de Gordon, de Tanqueray, de Beafeter, de Bombay Sapphire? « Quand ils étaient les seuls à tirer le marché, on trouvait ça bon à l'époque, s'amuse Stan Jouenne, qui a ouvert le Tiger, rue Princesse, l'une des plus chouettes adresses pour siroter un cocktail dans la capitale. Mais ces bouteilles-là sont celles qui souffrent aujourd'hui. Le gin a évolué vers des recettes plus complexes, plus originales. Et les nouveaux tonics leur emboîtent le pas. Leur principal avantage? Moins sucrés, ils ne masquent plus la palette aromatique du gin. » Encore que la palette aromatique de Gordon, on en fasse vite le tour… On a donc le choix dans l'embarras: Erasmus, la plus ancienne marque de tonic, venue de Belgique, propose un dry très peu sucré formidable. Henry Thomas en a sorti un à la fleur de sureau. Fentiman et sa bulle puissante réveille le gin le plus mou du genou. 1724 avance en rondeur avec des notes florales.
Maison À Vendre Hoymille, 2024