La quantité restant pertinente, il suffit simplement de mettre de côté la fréquence optimale ( F) que donne le modèle pour commander plus en période de forte demande et moins lorsque la demande est faible. Le prix Le modèle ne prend pas non plus en compte les tarifs dégressifs. En effet, le prix d'achat n'est pas toujours constant car les prix peuvent varier en fonction de la quantité commandée. La quantité optimale à commander que va donner la formule de Wilson en fonction de la demande ne sera peut-être pas la quantité optimale en fonction des prix d'achat. Il peut donc être intéressant de commander plus sur une période et moins sur une autre. Les coûts de stockage La formule de Wilson considère également tous les coûts d'entrepôt comme fixes. Or, de nombreux coûts variables viennent s'ajouter aux coûts fixes La main d'œuvre, L'électricité, Le transport, Etc. Ce sont des coûts qui, par exemple, viennent s'ajouter à l'amortissement des machines dans l'usine, un coût fixe et réparti. Les délais Le modèle de Wilson considère les délais de commande et livraison comme stables et constants.
Figure 5. Modèle de comportement informationnel de Wilson 1996 (Wilson, 1999, p. 257) Pour Wilson (1997, p. 562), l'attention passive (passive attention) désigne les cas où l'acquisition de l'information se fait sans une recherche intentionnelle, par exemple lorsqu'on écoute la radio ou regarde la télévision. La recherche passive (passive search) se réfère aux cas où une personne recherche de l'information pour répondre à un besoin particulier et que cette recherche (ou autre comportement) donne lieu à l'acquisition d'une information ne répondant pas au besoin initial, mais qui s'avère néanmoins pertinente pour l'individu. Quant à la recherche active (active search), elle renvoie aux cas où une personne recherche activement de l'information. La veille informationnelle ou recherche permanente (ongoing search) désigne une situation où la recherche active a déjà établi une base des connaissances, d'idées, de croyances ou de valeurs, mais où une recherche constante est effectuée, sous forme de recherches occasionnelles, afin de se mettre à jour ou d'élargir cette base de connaissances.
De même, la position du point d'unification intervient aussi dans le décours d'une tâche de catégorisation de genre (Radeau, Mousty & Bertelson, 1989). Cet aspect du modèle de la cohorte a également été validé par les travaux de Zwitzerlood (1989) qui dans une tâche d'amorçage sémantique intermodal montre que lorsque la cible est présentée avant le point d'unicité de l'amorce, on observe un effet d'amorçage y compris pour une amorce incompatible (/ / issu de / / et de / / amorce BOOT et GELD). Par contre si la cible visuelle est présentée après le point d'unicité de l'amorce, seule l'amorce sémantiquement reliée occasionne un effet d'amorçage (seul / / active BOOT).
Le nouveau modèle Il a également montré les besoins physiologiques, affectifs et cognitifs qui donnent lieu à un comportement de recherche d'informations. Le modèle a reconnu qu'un besoin d'information n'est pas un besoin en soi, mais plutôt un besoin qui découle d'un besoin psychologique antérieur. Ces besoins sont générés par l'interaction des habitudes personnelles et des facteurs politiques, économiques et technologiques dans l'environnement d'un individu. Les facteurs qui déterminent les besoins peuvent également entraver la recherche d'informations d'un individu. Deuxième révision en 1997 En 1997, Wilson a proposé un troisième modèle général qui s'appuyait sur les deux précédents. Ce modèle incorporait plusieurs éléments nouveaux qui aidaient à mettre en évidence les étapes vécues par la « personne en contexte », ou chercheur, lors de la recherche d'informations. Celles-ci comprenaient une étape intermédiaire entre la reconnaissance d'un besoin et l'initiation de l'action, une redéfinition des barrières qu'il proposait dans son deuxième modèle comme des « variables d'intervention » pour montrer que les facteurs peuvent être favorables ou préventifs à une boucle de rétroaction, et une « activation mécanisme".
Dans ce modèle, certains mots peuvent être identifiés avant que tous leurs phonèmes aient été entendus, du moment que tous les autres candidats ont été éliminés. Le point de reconnaissance du candidat unique doit coïncider avec le point d'unicité du mot. Les informations sémantiques et syntaxiques permettent, en plus, d'éliminer des candidats potentiels et de reconnaître le mot avant même le point d'unicité. Ce modèle est purement séquentiel, dans le sens où le traitement se fait uniquement depuis les niveaux inférieurs de traitement (traitement acoustique) vers les niveaux supérieurs (traitement sémantique). Par ailleurs, trois inconvénients apparaissent dans ce modèle. Le premier inconvénient est que le début du mot dans ce modèle est un point important mais la définition du début du mot autrement que par la reconnaissance du mot précédent parait difficile. De plus, le début d'un mot n'est pas un élément robuste dans le bruit et dans la parole continue. Le second inconvénient est que le système ne permet pas de revenir en arrière, il n'a pas droit à l'erreur.
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