Son appartement a été dévasté. Les meubles renversés. Et, avant de partir, certains de ses agresseurs ont emporté des objets lui appartenant. Une fois seule, elle a trouvé refuge chez un voisin qui l'a rassurée, puis transportée à l'hôpital où une ITT de trois jours a été prescrite, et au commissariat pour déposer plainte. La jeune femme traumatisée Mais la jeune femme, dont le corps porte des traces de coups, est traumatisée par cette terrible soirée. Elle tient des propos confus. Sinistre "tournante" : 7 jeunes accusés de l'avoir violée toute une nuit - midilibre.fr. D'ailleurs, elle a dû être hospitalisée pendant plusieurs jours, avant de pouvoir être entendue. Il y a deux semaines, un des participants à la sinistre "tournante" se présente au commissariat. Il se sait recherché et a pris les devants. Dans un premier temps, il aurait expliqué qu'il n'a pas violé la jeune femme assurant que c'était une relation consentie. Avant de passer aux aveux. Les six autres suspects ont été interpellés en deux temps, il y a deux semaines et en début de semaine. Certains nient les faits, prétendant que la victime était consentante.
Asie-Pacifique vidéo Découverte par des universitaires coréens, elle aurait été tournée par un soldat américain en 1944. Le 5 juillet, la Corée du Sud a rendu publique une vidéo qui pourrait être la première montrant celles que l'on a longtemps appelées par euphémisme « les femmes de réconfort ». Ces femmes étaient, en réalité, des esclaves sexuelles exploitées par l'armée japonaise au cours de la seconde guerre mondiale. Selon les historiens, jusqu'à 200 000 personnes, pour la plupart des Coréennes mais aussi des Chinoises, des Indonésiennes et des ressortissantes d'autres pays asiatiques, ont été enrôlées de force dans les bordels de l'armée impériale. Cette question empoisonne les relations entre Séoul et Tokyo depuis des décennies, nombre de Sud-Coréens y voyant le symbole des abus et violences commis par le Japon durant sa domination coloniale, de 1910 à 1945. Femme prise en tournantes. Seules des photographies de cet épisode étaient connues jusqu'à aujourd'hui. L'extrait vidéo, qui aurait été tourné par un soldat américain en 1944, a été découvert par des universitaires coréens après deux ans de recherche dans les archives américaines.
Quinze hommes de 29 à 33 ans, accusés de viols collectifs entre 1999 et 2001 sur deux adolescentes, Nina et Stéphanie, alors âgées de 15 et 16 ans, sont jugés à partir de ce mardi par les assises des mineurs du Val-de-Marne. Retour sur l'affaire, dite des "tournantes". "Ils étaient au moins 25" Nina a 16 ans la première fois qu'elle est violée. C'était en 1999. Elle rentrait du cinéma lorsqu'elle est accostée par des garçons, à peine plus âgés qu'elle: ils commencent par la frapper puis abusent d'elle. Cette horreur deviendra son quotidien: pendant six mois, elle est frappée, violée par plusieurs jeunes de la cité, parfois en même temps, tous les jours. D'autres regardent. Ils la menacent: si elle parle, ils brûleront son appartement et s'en prendront à son petit frère. Le calvaire s'arrête grâce à l'intervention d'un autre jeune de la cité. Mais elle garde son secret pendant six ans avant de tout raconter à une policière. >> Lire l'article de Libération: "Ils étaient au moins vingt-cinq.
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