Il y a beaucoup de choses à considérer quand on gère un groupe de jeunes et durant mon parcours j'ai réalisé que bien souvent une liste ne suffit pas à faire le tour d'une question. Néanmoins, j'aurais aimé connaître certains incontournables quand j'ai commencé mon groupe de jeunes, et je dois me les répéter encore souvent aujourd'hui. Donc voici une liste de 5 points à savoir, à se rappeler et à méditer quand on gère un groupe de jeunes. 1- Ce n'est pas moi qui sauve mais Dieu Trop souvent on pense que tout dépend de nous, mais en vérité c'est Dieu qui fait la différence et c'est Lui qui agit mais il souhaite le faire avec nous et Il souhaite que nous soyons des éléments de changements par Lui! Un des plus grands moyens d'arriver à la tragédie s'appelle « le complexe du sauveur ». Même si des milliers viennent à Christ au travers de notre ministère, même si des vies sont changés, des familles restaurées, des villes bouleversées, … Il faut se rappeler que c'est Dieu qui est à l'œuvre, c'est Lui qui est le maître et Il doit le rester et nous sommes les serviteurs.
(Luc 17:10) Cela permet aussi de ne pas porter trop sur nous même. Ça donne une nouvelle perspective pour réfléchir à notre réussite et ça nous permet de toujours pointer vers Christ dans tout ce que nous faisons! 2- Rester soi-même Trop souvent on essaie de faire comme ceux de gauche ou de droite. C'est vrai qu'un grand nombre d'église et de groupes de jeunes font un boulot incroyable et passionnant! C'est génial! On ne devrait jamais hésiter à s'en inspiré, mais le « copier-coller » ne devrait jamais être une option pour notre ministère. Dieu nous a façonné chacun de manière particulière, Il nous a donné des dons différents et cela doit être une richesse. Faire comme les autres nous rend moins efficaces, même si on copie les meilleures. On devrait toujours simplement « être nous ». 3- Développer une vision Trop souvent les groupes de jeunes ne sont pas leadés de façon proactive. Être proactif signifie agir en amont, anticiper, être prêt. L'inverse c'est de réagir aux situations. Régulièrement on ne va nul part parce qu'on ne répond pas aux bonnes questions.
Camus, Homme rév., 1951, p. 228. − [Avec déterm. désignant l'orig. de la prédication (pers., mouvement pol., philos. )] Prédication anarchiste, individualiste, socialiste; prédication du marxisme, des philosophes. Les déclamations de la secte, comme on nommait l'école économiste il y a un siècle (... ) sont accueillies avec la même méfiance que les prédications des communistes ( Proudhon, Syst. contrad. écon., t. 2, 1846, p. 2). L'exaltation de la dureté me semble une des prédications du clerc moderne qui aura porté le plus de fruit ( Benda, Trahis. clercs, 1927, p. 176). admonestation ex. ♦ P. iron. Que l'on imagine, sur le thème de l'apologue de La Fontaine, un peuple de cigognes se laissant persuader par la prédication d'une horde de renards, que la moralité commande de se nourrir de brouet clair dans des assiettes plates ( Gaultier, Bovarysme, 1902, p. 139). désignant l'objet de la prédication] Prédication morale, sociale; prédication historique; prédication du particularisme, du pragmatisme, du réalisme.
Galates 5:16-17 Après la prédication, le prédicateur a procédé à prier pour les nouveaux converties pour qu' ils reçoivent la vie de Jésus Christ.
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