Ils rappellent que jusqu'alors, la promotion immobilière se voit attribuer un maximum de 4% des dépenses fiscales. Les facteurs de développement durant l'année 2017 L'année 2017 a été marquée par la reprise du secteur immobilier au Maroc. Une tendance qui découle notamment de l'amélioration des conditions d'octroi des prêts, en faveur des promoteurs immobiliers. Les acteurs rappellent que le secteur représente 30% du total des crédits immobiliers Maroc, si l'on prend en compte ceux accordés aux particuliers. D'autres facteurs sont venus revigorer l'année 2017. Parmi eux figure l'avènement des banques participatives. On note aussi l'augmentation des investissements directs étrangers. Secteur immobilier au maroc 2018. Enfin, le bon développement des programmes des villes nouvelles, à l'exemple de telles que Lakhyayta et Chrafate est aussi passé par là.
Partout dans le monde, la pandémie de Coronavirus a occasionné la crise presque dans tous les secteurs. Certes, Maroc est un pays qui séduit les investisseurs immobiliers, il a également connu la crise suite à la pandémie. Avec les confinements et les fermetures de frontières, les investisseurs venus de l'étranger sont en baisse. Cependant, le marché immobilier marocain n'est pas pour autant menacé si des solutions sont mises en place. Immobilier : dix ans, quatre ministres et toujours un déficit de 400 000 logements - La Vie éco. Des impacts de la pandémie de Covid-19 Le marché immobilier au Maroc ne peut pas se passer des impacts du Coronavirus. Si ce secteur est en difficulté, c'est à cause de l'instabilité liée au crise. En général, le prix de l' immobilier maroc est en baisse. Même si la situation peut varier d'une ville à l'autre, la baisse des prix est une tendance générale. Le secteur ne trouve pas la stabilité entre cette baisse et l'explosion des prix des matériaux de construction. Bien que la baisse est flagrante, le prix reste cher pour la classe moyenne. On peut souligner qu'il n'y a pas d'offre bien adaptée à la classe moyenne surtout dans les grandes villes comme Marrakech, Casablanca, Rabat, … En plus, les offres de prêts immobiliers proposées par les banques sont également en baisse.
3- Abrogation des droits de timbre sur les laissez-passer spéciaux pour les pèlerins, et sur les titres de voyages au profit des réfugiés et apatrides 4- Augmentation du tarif du timbre fixe relatif au passeport de 300 DH à 500 DH. Cette mesure est d'ordre purement fiscal et budgétaire. Elle ne cible pas le tourisme. Secteur immobilier maroc - Document PDF. Le droit de timbre de 300 DH sur les passeports est inchangé depuis 33 ans! C'est une mesure budgétaire mais également de rattrapage car plusieurs actes seront parallèlement exonérés de droits de timbre. #Immobilier 1-Proposition d'unifier les taux actuels d'imposition, au titre de l'IR sur profits fonciers, des terrains urbains non bâtis quelle que soit la durée de leur détention. 2- Les bénéfices réalisés par les #OPCI (Organismes de Placement Collectif Immobilier) et distribués comme dividendes à leurs actionnaires, sont imposables entre les mains des sociétés qui les perçoivent, sans aucun abattement fiscal. 3- Le prix d'acquisition en cas de cession de biens #immeubles acquis par voie d'héritage a été reconsidéré pour correspondre à la valeur vénale des immeubles au jour du décès.
» Pour Rabat, l'accroissement des prix est nettement plus évident. Toutes catégories confondues, les prix des actifs immobiliers ont augmenté de 3, 6% avec 3, 3% pour les appartements et 0, 4% pour les terrains. Secteur immobilier au maroc 2014 edition. Après une baisse de 1, 1% au deuxième trimestre, à Tanger, on observe une remontée des prix généralisée de 0, 2%. Malgré la baisse considérable de 17, 1% pour les locaux commerciaux ainsi que celle de 0, 2% pour les terrains, la valeur des appartements progresse de 1, 4%.
L'accélération des programmes des villes nouvelles comme Chrafate et Lakhyayta, le lancement du chantier de la ville sino-marocaine "Mohammed VI Tanger Tech", et d'autres mesures tel que le programme étatique "Villes sans bidonvilles" et la promotion de l'habitat abordable (Tétouan, Ksar El-Kébir, Settat, Lebrouj et Moulay Yaâcoub) viennent appuyer la bonne perspective 2018. L'année 2018 sera décisive pour la croissance du marché immobilier marocain qui devrait retrouver sa stabilité mise à mal depuis quelques années par la présence de différents facteurs. Selon Yassine Mfadel, directeur général du groupe Mfadel, "l'immobilier au Maroc est en pleine mutation, il se professionnalise et se structure de jour en jour. De ce fait, une sélection naturelle va se produire avec un nivellement par le haut. 2021, année de tous les défis pour le marché immobilier. Les opérateurs peu structurés sont amenés à disparaître et les groupes mieux organisés sont amenés à se consolider. La transparence, la gestion des délais, la qualité de construction ainsi que les questions liées à la problématique environnementale en seront les axes majeurs. "
Les nouveaux défis de la relance du secteur de l'habitat et de l'urbanisme Lors d'une récente visite, la ministre de l'Aménagement du territoire national, de l'urbanisme, de l'habitat et de la politique de la ville, Nezha Bouchareb, a souligné les nouveaux défis à relever pour renforcer la relance du secteur de l'habitat et de l'urbanisme. «Le secteur de l'habitat et de l'urbanisme a réussi à enregistrer de bons résultats, malgré l'impact négatif de la pandémie», a-t-elle fait savoir, notant que le secteur a pu rester en marche en période de confinement, grâce au développement de la chaine de valeur, la dématérialisation des procédures, la promotion de la demande, le maintien de l'emploi, l'implication des professionnels du secteur et à la dynamique de solidarité engagée. «La nouvelle dynamique est déjà lancée, il suffit de s'y inscrire», a lancé Mme Bouchareb, soulignant la nécessité de sauvegarder les acquis et d'adhérer activement à cette dynamique, qui doit être basée sur l'efficacité des actions, la promotion de la souveraineté économique, notamment en matière de production des produits de première nécessité, qui devrait, selon elle, être revue et pensée à l'échelle régionale.
La promotion immobilière au Maroc continue sa professionnalisation et sa diversification notamment avec l'ouverture de ce marché à la concurrence internationale. Elle enregistre des performances notables et participe au développement de multiples activités connexes. En 2018, le nombre de logements autorisés a été de 120. 000, la consommation du ciment était d'environ 14 millions de tonnes et les crédits immobiliers ont atteint près de 267 milliards de DH. Cette étude sectorielle dresse un état des lieux de ce secteur au Maroc sur la base d'enquêtes SEREC et de multiples sources d'information nationales et internationales.
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