En remontant l'histoire de la Médecine du Travail, un certain Guy Hausser homme phare de la médecine du travail pour la CGT en France en 1938 dénonçait déjà la distribution de lait dans les usines, présentée à l'époque par les employeurs comme une parade à la toxicité des produits chimiques et revendiquée comme telle par les salariés. C'est dire combien déjà cet usage était de pratique courante du temps des mines de charbon et autres mines de métaux de l'époque; la reconnaissance de la silicose comme Maladie Professionnelle ayant eu lieu bien plus tard en 1943. La distribution du lait aux travailleurs serait donc un avantage social qui remonte à bien longtemps, il constituait en fait un moyen de motiver, d'aider et de nourrir une population pauvre, misérable et soumise à des conditions de travail lamentables et très difficiles dans les mines depuis le 19ème siècle. Cette période coïncidait en fait avec l'âge d'or de l'industrie minière en Europe: des centaines voire des milliers de familles étaient entièrement dépendantes de la mine, les responsables de la mine de l'époque nourrissaient et logeaient leurs employés; beaucoup de mineurs mourraient très jeunes de la silicose et certains conclurent que les travailleurs qui buvaient du lait entier semblaient vivre plus longtemps.
Le processus carieux se développe rapidement: débutant par les incisives supérieures, il s'étend ensuite aux autres dents de lait. Les dents noircissent. Elles sont fragilisées et se fracturent. Leur perte précoce a un retentissement sur la capacité de l'enfant à manger et des conséquences sur l'évolution des dents définitives. Vitamine D: la bonne dose et pas plus Chez l'enfant la vitamine D est indispensable à la croissance des os. Pour assurer cette croissance, la vitamine D est prescrite en France dès les premiers jours de la vie. Administrer à son enfant trop de vitamine D peut être aussi dangereux (perturbation de la fonction des reins) que de ne pas en administrer assez. Il est donc nécessaire de: bien contrôler les doses données à votre enfant et de ne pas multiplier les produits contenant de la vitamine D pour éviter des surdosages; privilégier l'utilisation du médicament contenant de la vitamine D prescrit par votre médecin, plutôt que celle d'un complément alimentaire enrichi en vitamine D, particulièrement chez le jeune enfant; ne pas donner quotidiennement à votre enfant un produit dont la provenance et la composition ne sont pas garantis et qui peut conduire à une intoxication irréversible par apport excessif en vitamine D.
Le lait est indéniablement un aliment riche, complet et nutritif à tout point de vue. A tout âge, il est utile et recommandé: nouveau né, nourrisson, enfant, adolescent ou adulte; il constitue une source de vitamines, calcium et protéines incomparable. Mais de là à penser qu'il constitue un "contre poison" ou une parade à la toxicité de certains produits chimiques ou toxiques ou à ce qu'il s'oppose à l'inhalation de poussières ou de particules par des travailleurs exposés ou effectuant certains travaux insalubres ou incommodes; il y a tout un monde! Parce que le lait ne joue aucun rôle "scientifiquement prouvé" de protection contre les Maladies Professionnelles ou contre certains risques professionnels, en particulier l'exposition aux toxiques ou aux poussières diverses. Sa distribution aux salariés de certaines entreprises semble bel et bien une habitude acquise par certains employeurs qui délivrent du lait ou accordent une indemnité de lait à des groupes de travailleurs. Un avantage social comme tant d'autres en fait, rien à voir avec la santé au travail et aucun lien avec une mesure préventive quelconque en relation avec les conditions de travail.
Vous êtes agent de relations avec les laiteries ou chef de centre de collecte? Vous êtes ingénieurs recherche et développement ou responsable de laboratoire dans une usine laitière? Vous êtes donc soumis aux dispositions de la Convention collective nationale de l'industrie laitière du 02 mai 1955.
Nourrir son bébé au sein est le mode d'alimentation le plus adapté à ses besoins jusqu'à l'âge de 6 mois. Au-delà, l'allaitement maternel peut être poursuivi à condition d'être complété par la diversification alimentaire. La composition du lait maternel varie selon les moments de la tétée et dans le temps, selon l'âge de l'enfant. Lors de l'allaitement, ne buvez aucune boisson alcoolisée car l' alcool passe dans le lait et est néfaste pour le bébé. Faites attention aux médicaments que vous prenez, même en automédication. Beaucoup sont contre-indiqués. Le rythme et la durée des tétées varient selon les besoins de votre bébé. Au début, donnez-lui le sein à la demande, puis espacez progressivement les tétées. L'allaitement maternel couvre, à lui seul, tous les besoins du nourrisson jusqu'à l'âge de 6 mois, à l'exception des besoins en vitamines D et K. L'ajout de vitamine D et de vitamine K (solutions buvables) est donc nécessaire chez l'enfant nourri au sein. Votre médecin traitant ou votre pédiatre vous expliqueront quand et comment donner ces vitamines.
La réforme de 1992 vise à diminuer le coût de l'intervention: une baisse des prix d'intervention de 15% sur trois ans a débuté au 1 er juillet 1993. ↑ Le calcul du droit de chaque producteur s'effectue d'après le nombre d'animaux primés en 1991, 1992 ou 1993 dans le cadre du régime de prime antérieur, selon le choix des états membres de l'Union européenne. ↑ Une unité de gros bétail = une vache allaitante; un jeune bovin mâle = 0, 6 unité de gros bétail. Le calcul du taux de chargement s'effectue en additionnant le nombre de bovins éligibles présents sur l'exploitation et en rapportant le total, exprimé en unités de gros bétail, à la surface fourragère de l'exploitation. Les animaux éligibles sont les animaux bénéficiant de la PMTVA (femelles de race d'orientation viande ayant déjà vêlé) ou de la prime spéciale aux bovins mâles, ainsi que les vaches laitières nécessaires pour produire les quantités de référence laitière du producteur ( quota laitier). Références [ modifier | modifier le code] ↑ « Règlement (CEE) n° 1357/80 du Conseil, du 5 juin 1980, instaurant un régime de prime au maintien du troupeau de vaches allaitantes », sur (consulté le 17 octobre 2013) ↑ a b c et d Denis Barthélémy et Jacques David et al., L'agriculture européenne et les droits à produire, INRA, 1999, 434 p. ( lire en ligne), p. 141.
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