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Ces actes peuvent même ne pas constituer des infractions pénales. Selon George L. Kelling il faut y remédier le plus tôt possible, tant qu'ils sont peu nombreux et avant qu'ils ne s'accumulent, en réparant, nettoyant, évacuant, etc. ce qui doit l'être. Appeler la police une fois l'infraction commise ne sert à rien et les habitants qui souffrent du sentiment d'insécurité répètent d'ailleurs que la police ne peut rien faire. La théorie de la vitre brisée met en évidence la nécessité pour la police de maintenir intactes des communautés sans vitres brisées [ 7]. Lyon. Il brise la vitre d’un véhicule de police devant le commissariat. En ce qui concerne l'application de cette théorie, la ville qui est le plus souvent citée comme un exemple de réussite est celle de New York. En effet, la politique policière menée sous l'action de Rudolph Giuliani et William Bratton inspirée notamment par la théorie de la vitre brisée a eu comme effet de faire baisser de manière importante le taux de criminalité de la ville [ 8]. Notes et références [ modifier | modifier le code] ↑ Theory of the broken window ↑ Das "Broken-Windows"- Paradigma: kriminologische Anmerkungen zu einem neuen Präventionsansatz, Franz Streng, Friedrich-Alexander-Universität Erlangen-Nürnberg, 1999 ↑ [Wilson, J. Q., & Kelling, G. L.
(1982). Broken windows. Critical issues in policing: Contemporary readings, 395-407 -] ↑ [G. Kelling et Catherine Coles, Fixing Broken Windows: Restoring Order and Reducing Crime in Our Communities, 1996] ↑ La théorie de la fenêtre brisée ↑ [Frédéric, O. (1994). Sebastian Roché, Le Sentiment d'insécurité. Genèses, 16(1), 164-166] ↑ « Vitres brisées: la police et la sécurité de proximité », Revue française de criminologie et de droit pénal, vol. Brise vitre police non. 5, octobre 2015 ( lire en ligne) ↑ Laurent Lemasson, « La ville qui devient sûre », Revue française de criminologie et de droit pénal, vol. 4, avril 2015 ( lire en ligne). Voir aussi [ modifier | modifier le code] Bibliographie [ modifier | modifier le code] (en) Fixing Broken Windows: Restoring Order And Reducing Crime In Our Communities, George L. Kelling et Catherine M. Coles, Free Press, 1998 ( ISBN 978-0684837383). (de) Das "Broken-Windows" - Paradigma: kriminologische Anmerkungen zu einem neuen Präventionsansatz, Franz Streng, Friedrich-Alexander-Universität Erlangen-Nürnberg, 1999.
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Des vitres brisées et un mur couvert de graffitis. Brise vitre police municipale. L' hypothèse de la vitre brisée, souvent appelée théorie de la vitre brisée [ 1], à son tour également dite de la fenêtre brisée ou du carreau cassé, broken windows effect en anglais, est une explication statistique mise en avant pour établir un lien direct de cause à effet entre le taux de criminalité et le nombre croissant de fenêtres brisées à la suite d'une seule fenêtre brisée que l'on omet de réparer. Cette théorie [ 2] qui se rattache concrètement à la criminologie, est reprise en sociologie de la déviance, en sociologie urbaine, et même en sciences sociales. Il s'agit d'un concept ou plutôt d'une analogie, voulant que les petites détériorations que subit l' espace public suscitent nécessairement un délabrement plus général des cadres de vie et des situations humaines qui en relèvent. Souvent utilisée par les partisans de la tolérance zéro, ce principe est fondé sur l' exemple d'un édifice dont une vitre brisée n'est pas immédiatement remplacée.
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