Des complications à distance sont possibles justifiant d'informer les patients de la nécessité d'une nouvelle consultation en urgence en cas de douleur abdominale post ponction.
■ Le bilan d'imagerie. L'échographie montre un épaississement de la paroi hépatique et parfois un épanchement péri-hépatique. Le scanner abdominal et l'IRM abdominale objectivent un rehaussement linéaire et régulier de la capsule de Glisson, mais aussi un épaississement du fascia pré-rénal et de la paroi vésiculaire. ■ La cœlioscopie. Cet examen invasif, effectué uniquement en cas de doute (permettant d'avoir une certitude diagnostique), met en évidence des adhérences en corde de violon. Colectasie droite avec signes de souffrance, tumeur sigmoidienne non occlusive. TRAITEMENT Une double antibiothérapie est mise en place. Le plus souvent: une association d'acide clavulanique/amoxicilline, 3 g/j durant 10 jours, avec une doxycycline, 200 mg/j durant 3 semaines. Des antalgiques peuvent aussi être administrés contre la douleur. Par ailleurs, il est important d'effectuer un dépistage des autres infections sexuellement transmissibles. Un traitement des partenaires est également nécessaire (par azithromycine ou doxycycline pendant 7 jours). Bibliographie 1 - Rambaud JC.
Cette explication est moins probable car cette diffusion n'est pas envisageable chez les hommes. SYMPTOMATOLOGIE Trois tableaux sont classiquement décrits: → Une forme pseudo-chirurgicale observée chez les jeunes femmes avec douleurs de l'épigastre et de l'hypochondre droit. Ces douleurs sont exacerbées à la palpation de l'hypochondre droit, et majorées lors de la toux ou la respiration. Il existe par ailleurs des nausées et un train fébrile. → Une forme aiguë fruste avec une symptomatologie superposable à la description précédente, mais moins bruyante. → Une forme pseudo-colitique observée chez les femmes de plus de 30 ans. Le tableau se caractérise par des leucorrhées traînantes et des douleurs abdominales modérées. EXAMENS COMPLÉMENTAIRES ■ Les analyses bactériologiques et biologiques. Gouttière pariéto clique là. Des prélèvements vaginaux doivent être effectués au niveau de l'endocol et/ou urinaire chez la femme; au niveau urétral chez l'homme. On recherche par PCR le germe responsable de cette affection. Le bilan biologique objective un syndrome inflammatoire, une hyperleucocytose, et de manière inconstante une perturbation du bilan hépatique.
On remarque à l'échographie la constitution d'un cône d'ombre derrière la coque enveloppant le textilome, cette ombre est liée à l'épaisseur exagérée de cette coque inflammatoire (granulome).
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