Bonjour, Dois-je écrire: « Je suis la seule des six qui n'a pas grandi à… » ou bien « …qui n'ai pas grandi à… »? Il est de bon usage, surtout à l'écrit, d'employer le subjonctif après les formes superlatives telles que « le seul », « l'unique », « le premier ». À l'oral, la tolérance de l'indicatif est d'autant plus forte qu'on n'entend souvent pas la différence. Par ailleurs, le verbe se conjugue avec le sujet de manière normale. Ici, « qui » représente « je » et le verbe de la relative se met à la première personne du singulier. « La seule » n'est que l'attribut de « je ». Au total la meilleure forme est: « Je suis la seule des six qui n'aie pas grandi… » « Je suis la seule des six qui n'ai pas grandi… » est acceptable. On entend d'ailleurs mieux la règle à une autre personne: « Nous sommes les seuls qui prenions nos responsabilités… » (et non qui prennent). P. -S. La notion d'hypothèse ou de réalité n'a rien à faire dans ce débat précis. L'utilisation du subjonctif est protéiforme… Chambaron Grand maître Répondu le 20 mars 2016 Je vous remercie Philippe.
Je suis l'alpha et l'oméga, le commencement et la fin. A celui qui a soif je donnerai de la source de l'eau de la vie, gratuitement. Apocalypse 22:13 Je suis l'alpha et l'oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin. Ésaïe 41:4 Qui a fait et exécuté ces choses? C'est celui qui a appelé les générations dès le commencement, Moi, l'Eternel, le premier Et le même jusqu'aux derniers âges. Ésaïe 43:10 Vous êtes mes témoins, dit l'Eternel, Vous, et mon serviteur que j'ai choisi, Afin que vous le sachiez, Que vous me croyiez et compreniez que c'est moi: Avant moi il n'a point été formé de Dieu, Et après moi il n'y en aura point. Ésaïe 44:6 Ainsi parle l'Eternel, roi d'Israël et son rédempteur, L'Eternel des armées: Je suis le premier et je suis le dernier, Et hors moi il n'y a point de Dieu. Ésaïe 48:12 Ecoute-moi, Jacob! Et toi, Israël, que j'ai appelé! C'est moi, moi qui suis le premier, C'est aussi moi qui suis le dernier. which is. Apocalypse 1:4 Jean aux sept Eglises qui sont en Asie: que la grâce et la paix vous soient données de la part de celui qui est, qui était, et qui vient, et de la part des sept esprits qui sont devant son trône, the Almighty.
A l'origine de tout, il y a un sujet qui est entièrement sujet. Une équivalence s'établit entre le je et l'acte d'être. Celui qu'on appelle Dieu est le « JE » initial. Deux lettres suffisent pour exprimer l'inconnaissable. C'est le monde renversé. Au début était la plus grande simplicité. Et de cette simplicité allait naître l'extrême complexité. Il n'en reste pas moins que la simplicité originelle reste enveloppée de mystère. Je suis celui qui est Bien que tout soit déjà exprimé dans le « JE », Dieu éprouve le besoin d'expliciter ce qui reste mystérieux. Le je est pur comme l'eau de la source, comme le cristal lui-même. Il n'existe en lui aucune étrangeté. C'est ce qu'avaient compris les Egyptiens pour qui la lumière du soleil était la figure de Ré, le dieu des dieux. Le je et l'être se déploient dans l'identique. Le rapport de soi à soi, qui constitue le je, va tout simplement du même au même. Mais quelle richesse insondable dans le même qui se réfléchit sur lui-même! Le sujet est dans l'explosion de la multiplication.
Maison À Vendre Hoymille, 2024