Introduction L'intégration du caractère sous-jacent de la personnalité dans le cadre d'une pathologie psychiatrique, de la répétition d'un comportement ou alors d'un mode de fonctionnement psychique, intervient au début du vingtième siècle à travers un médecin, psychologue français: Pierre Janet. Il en a fait un livre (parmi l'ensemble de ses ouvrages publiés): « l'évolution psychologique de la personnalité » sorti en mille neuf cent vingt-neuf. Il a servit de terreau pour les futurs recherches sur ce sujet. Structure de la personnalité nnalite evitante. Le psychanalyste Jean Bergeret, a publié un ouvrage en mille neuf cent soixante-quatorze « la personnalité normale et pathologique «, où il établit un ordre. D'après lui, l'Homme développe une structure de la personnalité soit névrotique, soit psychotique, c'est une loi de la nature. Par la suite, certains médecins spécialisés dans le secteur de la psychiatrie déclare qu'il y a trois degrés, trois modes d'adaptation de la structure de la personnalité au sein de la vie quotidienne: La personne « normale » aurait certaines tendances de comportement, de pensée uniquement lors d'événements stressants, qui ne seront que passagers.
Les limites sur ce schéma sont en pointillé pour marquer les phénomènes « d'osmose » des différents niveaux de l'individu entre eux et avec son environnement. >>> Suite vers « Fonctions psychologiques « Ce contenu a été publié dans Processus de la psychosynthèse. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.
Elles sont facilement contrariées et plus que les autres, ont l'humeur instable avec des oscillations entre des moments d'excitation et de déprime. Elles ont l'angoisse d'être délaissées, ignorées, abandonnées, de ne plus pouvoir disposer des autres à la hauteur de leurs besoins. Structure de la personnalité nnalite histrionique. Ils interprètent toute parole les concernant comme une critique, d'où leur incapacité à suivre une thérapie. Hypocondrie, perversions sexuelles, addictions (troubles alimentaires, kleptomanie, passions destructrices) troubles conduites alimentaires, troubles du caractère, pulsions suicidaires sont également des symptômes de ce type de malades. ] Dans les cas extrêmes on trouve des états de prostration avec catatonie (contracture du tronc et des membres) et d'autisme (repli sur soi et absence de communication), mais aussi des troubles du langage (débit, associations bizarres de mots, monologues). Il y a aussi une indifférence pour autrui, des fous rires, une violence brutale et un maniérisme gestuel, voire des crimes sexuels.
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