Jésus vient sauver son peuple de ses péchés! Matthieu 1:21 Elle mettra au monde un fils, que tu appelleras Jésus, car il sauvera son peuple de ses péchés. Jésus est venu sauver le peuple juif de ses péchés, il n'avait été envoyé que vers les brebis d'Israël, comme il l'avait déclaré à la femme cananéenne dont la fille était possédée d'un démon. Matthieu 15:24 Il répondit: Je n'ai été envoyé qu'aux brebis perdues de la maison d'Israël. Quand il a envoyé ses apôtres annoncer que le royaume de Dieu s'était approché, c'était seulement pour les juifs qu'il s'était approché, les samaritains et les païens n'étaient pas visés. Matthieu 10:5 Ce sont les douze que Jésus envoya, après leur avoir donné les instructions suivantes: «N'allez pas vers les non-Juifs et n'entrez pas dans les villes des Samaritains. 6 Allez plutôt vers les brebis perdues de la communauté d'Israël. Après la Pentecôte, la donne avait changé, il n'était plus question d'établir le royaume de Dieu à Jérusalem, le royaume de Dieu allait s'étendre sur toute la surface de la terre et toucher autant les païens que les juifs.
Jésus a contre-attaqué le royaume de Satan en chassant le mauvais esprit qui animait l'homme de la synagogue de Capernaüm ( Marc 1: 24–26). Il en résultait que la nouvelle de ce que Jésus faisait se propageait à travers toute la Galilée. Dès que l'Évangile entre dans de nouvelles régions, des signes et des prodiges accompagnent sa proclamation. Quand Jésus envoya les soixante-douze, il dit à ces missionnaires: « Guérissez les malades qui s'y trouveront, et dites-leur: Le royaume de Dieu s'est approché de vous » (Luc 10: 9). Quand les disciples revinrent, ils étaient pleins de joie et dirent: « Seigneur, les démons même nous sont soumis en ton nom » (v. 17). Jésus déclara que les signes et les prodiges faisaient partie intégrante de leur mission: « Voici: je vous ai donné le pouvoir de marcher sur les serpents et les scorpions (une allusion possible à Satan et sesdémons) et sur toute la puissance de l'ennemi, et rien ne pourra vous nuire » (v. 19). Après avoir reçu le Grand Ordre de Mission, les apôtres exercèrent le même type de ministère que Jésus avait manifesté sur terre.
Acclamation: (Lc 21, 28) Alléluia. Alléluia. Redressez-vous et relevez la tête, car votre rédemption approche. Alléluia. Évangile de Jésus Christ selon saint Luc En ce temps-là, Jésus dit à ses disciples cette parabole: « Voyez le figuier et tous les autres arbres. Regardez-les: dès qu'ils bourgeonnent, vous savez que l'été est tout proche. De même, vous aussi, lorsque vous verrez arriver cela, sachez que le royaume de Dieu est proche. Amen, je vous le dis: cette génération ne passera pas sans que tout cela n'arrive. Le ciel et la terre passeront, mes paroles ne passeront pas. » – Acclamons la Parole de Dieu.
» Méditer avec les Carmes Vous n'allez pas, mes sœurs, partir deux par deux sur les routes, parce que c'est ici même que vous œuvrez avec le Seigneur pour le rachat du monde; et pourtant, parmi les consignes de mission que Jésus donne à ses disciples, il en est deux qui rejoignent le cœur de votre vie journalière. La première est celle-là même qui ouvre le discours de Jésus, celle qui sans doute lui tenait le plus à cœur: "Priez le maître de la moisson". Lorsque nous pensons aux besoins de l'Église, au petit nombre des ouvriers et des ouvrières, à la crise des vocations, qui est quasi générale maintenant dans l'hémisphère nord, trop souvent notre prière reste timide, et parfois même pessimiste. Nous demandons l'aide de Dieu, mais en nous résignant au pire. Or, si nous croyons vraiment à la puissance de notre Père, à la présence de l'Esprit qui souffle où il veut, nous ne pouvons pas prier comme des lutteurs découragés, comme des gens battus d'avance. Jésus ne nous dit pas de prier dans l'attente d'une catastrophe, mais parce que la moisson n'a jamais été aussi belle, qu'elle lève de partout, et qu'il faut chaque jour un supplément de bras et de cœur à l'ouvrage.
Ainsi, la prière pour les vocations ne sera pas seulement un moment ponctuel, un réveil saisonnier, mais une dimension de notre prière en Église, une pente de notre intercession communautaire. "Priez le Maître de la moisson". Voilà le formidable optimisme que Jésus lègue à sa communauté! Il ne dit pas: "Priez le Maître des labours", ni même: "le Maître des semailles", mais bien: "le Maître de la moisson". Les ouvriers et ouvrières du Seigneur ont parfois et même souvent l'impression que le monde est à l'abandon, que des secteurs entiers de la mission retournent en friche. En réalité, là où nous voyons des herbes folles, Dieu voit déjà la moisson qui lève. Pour Jésus également, pour Jésus missionnaire en Samarie, "déjà les champs étaient blancs pour la moisson" (Jn 4, 35). Quant à nous, jusqu'au dernier jour de la moisson, de cette moisson déjà sur pied, nous entrons dans la réussite de Dieu, dans son travail d'engrangement, et donc dans sa joie de semeur. Et parce que nous partageons déjà avec lui l'enthousiasme de la récolte, c'est à nous de lui réclamer un supplément de bras, un regain de cœur à l'ouvrage.
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