Il s'agit d'un secteur qui comprend plus de 300 marques différentes avec un pourcentage de de nouvelles sociétés, ce qui montre le succès de ce type de commerce. En outre des nouveaux acteurs proposent des produits typiquement français, la France étant une référence pour un grand nombre de touristes d'un point de vue gastronomique. ] On note également l'apparition de commerces mixtes, qui proposent à la fois un service de restauration traditionnelle et la vente de produits issus de l'épicerie fine. Ces commerces ont de plus en plus de succès, car ils jouent beaucoup sur les émotions vécues par le client lors de son repas au restaurant. En effet, plus celui-ci était bon, plus les consommateurs sont enclins à y rester un peu plus et pourquoi pas visiter la boutique attenante pour y dénicher des bons produits. ] Le marché de l'épicerie fine I. Le marché de l'épicerie fine Le marché de l'épicerie fine est incontestablement en pleine croissance et connaît un succès fulgurant, non seulement en France, mais dans de nombreux autres pays. ]
L'Amérique du Nord et la Russie sont les moteurs du secteur L'Europe se distingue comme le plus grand consommateur de chocolat au monde La zone Asie-Pacifique devrait enregistrer sa plus forte croissance d'ici 2021 Le marché de l'épicerie sucrée dans le monde Réconfortante, chaleureuse, source de plaisir… L'épicerie sucrée est certainement l'un des secteurs les plus gourmands du monde de l'alimentation. C'est l'univers des petites douceurs qui agrémentent les desserts, les goûters et les petits déjeuners. L'épicerie sucrée englobe en effet aussi bien les biscuits (secs, pâtissiers, petit déjeuner, chocolat et fruits) que les cookies ou les produits goûters. Tout ce qui tourne autour des confiseries et chocolats, chewing-gums inclus, fait également partie de ce segment de marché. On y trouve aussi les sucres et farines, les compotes et fruits en sirop, ainsi que les biscottes, pains de mie et autres pains grillés à savourer au petit déjeuner. Parce qu'elle est un marché « plaisir » par excellence, l'épicerie sucrée a accusé un important recul dans le monde en 2008, lors de la crise économique et financière.
Les ventes de produits bio alimentaires ont dépassé les 100 milliards de dollars en 2018 (environ 97 milliards d'euros), selon la dernière étude Ecovia publiée par FIBL et Ifoam sur le salon Biofach 2020. Les Etats-Unis dominent largement avec 40, 6 Mrds d'euros, devant l'Allemagne (10, 1 Mds €) et la France (9, 1 Mds €). La majorité des marchés affichent une croissance à deux chiffres. En Europe, le marché de l'alimentation bio a atteint 40, 7 Mds €, en hausse de 7, 8% (source FIBL-AMI). L'Allemagne est le premier marché (10, 9 Mrds €). La France, en deuxième position (9, 1 Mrds€), est le marché de l'Union européenne (UE) qui a le plus progressé en 2018 (+ 15, 4%). En dix ans (2009-2018), la valeur du marché bio alimentaire a plus que doublé en Europe. Globalement, les pays européens sont ceux où la part du bio dans l'alimentation figure parmi les plus élevés. Le Danemark est le premier pays du monde à franchir la barre des 10% avec une part de marché de 11, 5%, la plus élevée à travers le monde.
Dans l'ensemble du secteur, la majorité des entreprises a connu une baisse du chiffre d'affaires, ou un arrêt total des activités qui a pu engendrer plusieurs faillites. L'industrie BVP a tenté d'amortir les pertes successives de bénéfices pour les viennoiseries et pâtisseries, en renouvelant et adaptant son offre produit, et pour cela multiplié les canaux de distribution (drive) et les modes de consommation. Comme les autres filières, les nouvelles pratiques mises en place ont de fortes chances de perdurer après la crise. Le marché des boissons non alcoolisées est celui qui est ressorti le moins impacté des autres secteurs des produits gourmets et épicerie depuis la crise du Covid-19 en France, en particulier par l'augmentation de l'achat de l'eau en bouteille, qui a connu en quelques mois un bond de 26%, puis une baisse de 15%. Enfin, la consommation biologique a été en forte hausse pendant et après le confinement, pour les produits gourmets. Un retour vers le local non négligeable pour le marché des produits gourmets et épicerie est aussi à prévoir en période de sortie de crise et pour les années à venir.
A la une 09/11/2017 Partager L'épicerie salée et sucrée représente 33% des achats en PGC-FLS Cliquez sur l'image pour visualiser l'infographie en taille réelle Cette infographie est issue de notre newsletter n°57 Contactez-nous Amélie Chaix Chargée de Communication +33 0(1) 30 74 81 66 Envoyer un message Amélie Chaix Newsletter Imprimer Suivez-nous Twitter LinkedIn Facebook Previous article Next article Articles liés Newsletter n°57 - Octobre 2017 13/10/2017 Découvrez les sujets traités dans notre newsletter n°57 En savoir plus Notre site internet utilise des cookies. En le visitant, vous êtes d'accord avec notre politique d'utilisation de ces cookies. [ Cookies]
Dans l'industrie agroalimentaire, l'épicerie sucrée est l'un des marchés les plus concurrentiels mais aussi les plus innovants. D'après le Panorama mondial de l'innovation 2019 de ProtéinesXTC, deux des principaux marchés de l'épicerie sucrée figurent dans le top 10 des catégories les plus innovantes de l'alimentaire dans le monde en 2018. Il s'agit de la biscuiterie (en septième position avec 4, 7% de toutes les innovations) et des desserts (à la neuvième place avec 3, 5% du global). Les nouveautés au rayon biscuiterie et desserts sont particulièrement nombreuses en Amérique latine, où ces deux catégories se hissent respectivement aux troisième et quatrième rangs des catégories les plus innovantes de l'alimentaire. Une forte tendance « Et c'est tout » Même si l'épicerie sucrée est synonyme de gourmandise, l'argument en faveur d'aliments plus sains, plus naturels et moins lourds grignote du terrain. Les consommateurs continuent d'acheter des produits sucrés axés plaisir, à condition que leur impact sur la santé ou l'environnement reste modéré.
Elle gagne 0, 2 point, soit 36, 2% de parts de marché. Des chiffres poussés par la croissance en valeur des calendriers de l'Avent (+ 10% chez les adultes et 5% chez les enfants). Au moment de Pâques, Ferrero a enregistré une hausse de 3% de chiffre d'affaires sur un marché à 1, 4%. Une refonte de la chaîne logistique Aujourd'hui, Ferrero continue d'investir à Villers-Ecalles en Normandie, qui reste la première usine mondiale de production de Nutella. Une enveloppe de 38, 5 M€ a été allouée en 2018 à l'extension et à la modernisation du site. Pour répondre à ces enjeux de diversification, la filiale s'attaque en 2019 à la refonte de sa chaîne logistique: l'entreprise redistribue dans un « hub » unique situé près d'Orléans l'ensemble de ses références de biscuits.
Maison À Vendre Hoymille, 2024