La Finlande ne recevant plus de gaz depuis mai. Notons que les Néerlandais dépendent de la Russie pour environ 15% de leurs approvisionnements en gaz. Soit six milliards de mètres cubes par an, selon le gouvernement. Ce chiffre est inférieur à la moyenne européenne de 40%, mais comme d'autres pays européens, les Pays-Bas tentent de réduire leur dépendance à l'énergie russe. Par ailleurs, le Premier ministre néerlandais Mark Rutte, était à Bruxelles pour le Conseil européen où les dirigeants tentent de s'entendre sans difficulté sur l'embargo russe sur le pétrole. Il a insisté sur le fait que son pays n'avait aucun problème de sécurité énergétique. Livraison d'armes : Biden impose une ligne rouge à l'Ukraine - l'Opinion. « Je pense qu'il n'y a pas de problèmes majeurs avec la sécurité énergétique néerlandaise. Bien sûr, nous travaillons tous pour nous assurer que nous restons stables en termes d'approvisionnement », affirmait-il aux journalistes à Bruxelles. En outre, pour faire face à la crise énergétique, le gouvernement néerlandais a déjà retardé la fermeture d'un immense champ gazier dans la province septentrionale de Groningue.
Pixabay En France, les enseignes spécialisées dans l'électroménager font face à de nombreuses pénuries, à tel point que certains produits sont introuvables: bloqués dans des containers, victimes des hausses de prix et de pièces manquantes. Les Russes aussi semblent manquer de pièces pour leurs chars et, comme le rapporte le Washington Post, ils s'équipent comme ils peuvent avec des composants de lave-vaisselle ou de réfrigérateurs. C'est la secrétaire d'État américaine au Commerce, Gina Raimondo, qui l'a expliqué lors d'une audition devant le Sénat. Selon elle, et surtout selon les dires du Premier ministre ukrainien, ces composants ont été découverts sur les "cadavres" de machines russes dans certaines villes ukrainiennes. Guerre en Ukraine: Macky Sall à Moscou pour «porter la voix de l’Afrique» | AbidjanTV.net. Une information qui peut paraître anecdotique, voire risible à certains égards, mais qui en dit beaucoup sur l'état de l'armée russe et de son matériel. Surtout, cela pourrait aussi vouloir dire que les sanctions occidentales commencent à porter leurs fruits, et pas seulement d'un point de vue économique.
Dmitry Peskov, porte-parole du Kremlin, en décembre 2020 - NATALIA KOLESNIKOVA / AFP Le président américain Joe Biden a notamment annoncé que son pays allait "fournir aux Ukrainiens des systèmes de missiles plus avancés et des munitions". Le Kremlin a accusé ce mercredi Washington de "jeter de l'huile sur le feu" après l'annonce de la livraison de systèmes de missiles américains à Kiev pour repousser l'offensive russe en Ukraine. "La ligne des Etats-Unis est de combattre la Russie jusqu'au dernier Ukrainien. De telles livraisons n'encouragent pas les dirigeants ukrainiens à vouloir relancer les négociations de paix", a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov. "Les Etats-Unis jettent délibérément et soigneusement de l'huile sur le feu", a-t-il ajouté. Exercice russe en ligne belgique. Les négociations de paix entre Kiev et Moscou sont au point mort depuis la fin mars, lorsque la Russie a retiré ses troupes autour de Kiev et annoncé concentrer ses efforts dans l'Est de l'Ukraine. Livraison de lance-roquettes Le président américain Joe Biden a écrit ce mardi dans le New York Times que son pays allait "fournir aux Ukrainiens des systèmes de missiles plus avancés et des munitions qui leur permettront de toucher plus précisément des objectifs clé sur le champ de bataille en Ukraine".
« Des éclats ont traversé le pare-brise blindé » « Nous condamnons fermement cet assassinat. La liste des crimes russes contre les professionnels des médias en Ukraine ne cesse de s'allonger », a déploré Oleg Nikolenko, porte-parole du ministère des Affaires étrangères ukrainien, sur Twitter. Selon ce responsable, « l'armée russe a bombardé un véhicule qui devait évacuer des civils de la zone de guerre, près de Severodonetsk ». Les réactions politiques Jordan Bardella, président par intérim du Rassemblement national: « Grande tristesse d'apprendre la mort d'un journaliste français, Frédéric Leclerc-Imhoff, dans le bombardement russe d'un convoi humanitaire dans le Donbass. Immense respect pour les reporters de guerre, qui défendent la liberté d'informer au péril de leur vie ». Jean-Luc Mélenchon, chef de file de la Nupes: « La guerre et son cortège d'horreurs. (... Exercice russe en ligne 2019. ) Ceux qui tuent civils et journalistes devront en répondre ». Fabien Roussel, secrétaire national du PCF: « L'horreur de la guerre et la mort de Frédéric Leclerc-Imhoff.
« Un double crime » La cheffe de la diplomatie française, Catherine Colonna, a affirmé dans un tweet que le reporter avait été « tué par un bombardement russe sur une opération humanitaire » et condamné un « double crime qui vise un convoi humanitaire et un journaliste ». La ministre a « exigé » « une enquête transparente dans les meilleurs délais pour faire toute la lumière sur les circonstances de ce drame ». Elle a également indiqué à l'AFP avoir demandé au président ukrainien Volodymyr Zelensky « de faire tout son possible pour que les autorités ukrainiennes nous aident » et « permettent le retour » du corps du journaliste « à sa famille le plus rapidement possible ». « Les autorités vous mentent » : la télé russe en ligne hackée pendant le discours de Vladimir Poutine - Numerama. Huit journalistes morts en Ukraine BFMTV a confirmé le décès de son journaliste reporter d'images, âgé de 32 ans, sur son antenne. Il a été touché par un « éclat d'obus alors qu'il suivait une opération humanitaire », a précisé la chaîne. Il s'agissait de la deuxième mission en Ukraine du vidéaste, qui travaillait depuis 6 ans pour BFMTV.
Maison À Vendre Hoymille, 2024