Lorient sera en effet ville d'arrivée de la dernière étape de la Grande route, à l'occasion d'une dernière étape entre Grenade (Caraïbes) et le port de Lorient La Base. Premières arrivées et grand final prévus mi-mars 2023!
Dans un communiqué, Julien Bayou, secrétaire national d'EELV, a mis également en avant « la seconde fois dans l'histoire de la cinquième République » qu'une femme accède à Matignon. Un document des politiques et stratégies nationales de sécurité alimentaire et nutritionnelle dans l’espace CEDEAO en cours de validation. Mais « Elisabeth Borne, que ce soit en tant que ministre de l'Écologie ou Ministre des Transports, a échoué à mettre la France sur la trajectoire nécessaire pour respecter l'Accord de Paris. Elle partage, avec d'autres, la responsabilité de ces cinq ans de perdus pour le climat », a-t-il critiqué. Le Pen déplore « la poursuite de la politique de mépris » « En nommant Elisabeth Borne comme Premier Ministre (sic), Emmanuel Macron démontre son incapacité à rassembler et la volonté de poursuivre sa politique de mépris, de déconstruction de l'État, de saccage social, de racket fiscal et de laxisme », a tweeté de son côté l'ancienne candidate du Rassemblement national à la présidentielle Marine Le Pen, faisant notamment allusion à la réforme de l'assurance chômage durant le précédent quinquennat. Son lieutenant et président du RN Jordan Bardella a fustigé, en marge d'une conférence de presse à Metz, une « Première ministre antisociale qui va se charger docilement de mettre en place la feuille de route d'Emmanuel Macron, c'est-à-dire le saccage social, la retraite à 65 ans, probablement l'explosion des prix, des taxes sur les biens de première nécessité, sur l'énergie ».
Elisabeth Borne a fait son entrée à Matignon ce lundi. Cette technicienne tenace, jugée loyale, est perçue par la macronie comme ayant fait ses preuves au gouvernement pendant tout le dernier quinquennat, des Transports au Travail en passant par l'Ecologie. Peche sous marine au maroc 2018. Si des membres du gouvernement et de la majorité présidentielle n'ont pas manqué de saluer sa nomination, les oppositions ont vivement critiqué le choix d' Emmanuel Macron. Le chef de LFI Jean-Luc Mélenchon a ainsi estimé que la nouvelle Première ministre est « parmi les figures les plus dures de la maltraitance sociale » dans la macronie. Celui qui espère lui-même être nommé à Matignon si la Nouvelle union de la gauche (Nupes) remporte les législatives de juin a évoqué une « tentative de tromperie »: « Mme Borne serait une femme de gauche », mais « nous ne lui accordons pas ce label ». Il a cité plusieurs réformes portées par l'ancienne ministre du Travail, comme « l'ouverture à la concurrence du rail ». Il a dit la tenir « personnellement responsable qu'un million de chômeurs aient leur allocation baissée » et pour « la réduction des droits des travailleurs », et souligné qu'elle s'était « prononcée pour la retraite à 65 ans ».
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