Corrigé I. Brouillon Commençons par faire la liste des idées que nous pouvons trouver: Le bonheur dépend de la chance * le bonheur dépend de la chance car beaucoup de choses essentielles à notre bonheur dépendent de la chance (vie, santé, beauté, richesse, amour, etc. ) * le bonheur dépend de la chance car il est déterminé par notre tempérament, lequel dépend de la chance (nous ne décidons pas plus d'être naturellement gais ou mélancoliques que…. le bonheur est-il une question de chance? 1707 mots | 7 pages * le bonheur dépend de la chance car il est déterminé par notre tempérament, lequel dépend de la chance (nous ne décidons pas plus d'être naturellement gais ou mélancoliques que bruns…. le bonheur es-il une question de chance? 1599 mots | 7 pages * le bonheur dépend de la chance car beaucoup de choses essentielles à notre bonheur dépendent de la chance (vie, santé, beauté, richesse, amour, etc. ) * le bonheur dépend de la chance car il est déterminé par notre tempérament, lequel dépend de la chance (nous ne décidons pas plus d'être naturellement gais ou mélancoliques que bruns ou blonds)….
Pascal disait « tous les hommes recherchent d'être heureux » cependant tout le monde ne l'est pas. Il est alors facile de conclure que le bonheur ne dépend pas nous puisque dans ce cas chacun ayant décidé d'être heureux, apriori tout le monde, le serait. Généralement l'homme est malheureux puisqu'il se concentre sur ce qu'il ne peut pas contrôler, prenons pour exemple la mort. C'est probablement l'une des choses qui cause le plus de tristesse à l'homme et ce parce qu'il ne peut pas la contrôler, il ne peut pas l'éviter ou changer la réalité, aussi brutale soit elle. Epictète ne pensait pas du bonheur qu'il était inaccessible, il disait cependant que si l'on se concentrait sur ce qui était hors de notre portée nous serions inévitablement malheureux puisque nous ne parviendrions jamais à contrôler notre propre vie et donc notre propre bonheur. Nous pouvons donc penser que le problème principal de l'homme est de se focaliser sur ce qu'il ne peut maitriser.... Uniquement disponible sur
C'est ainsi, qu'il faudrait apprendre par nous-mêmes à raisonner de manière optimiste, à mettre de la bonne volonté dans les pires situation qu'il soit, en utilisant notre plus grande liberté qu'est le mouvement pour réussir à atteindre le bonheur face à des évènements extérieures dont nous n'avons aucun pouvoir. C'est notre manière d'être qui jouera alors un rôle majeur dans notre atteinte du bonheur, il faut apprendre à raisonner comme nous l'a montré Hobbes précédemment....
Alors que dans un état civil, c'est-à-dire comportant des lois, la sécurité est assurée, tous les conatus peuvent alors s'exprimer. Nous ne sommes alors pas là pour brimer nos libertés, mais pour les organiser au sein de la société civile. D'où notre entrée dans cet état civil, le Léviathan nous imposant alors des lois, c'est le contrat social, nous lui donnons notre sécurité à condition que l'on puisse persévérer dans notre existence, nous n'avons alors pas toutes les libertés, mais certaines sont réelles. Donc, pour être libre, il vaudrait mieux vivre dans un état civil qu'un état de nature dans lequel on aurait plutôt tendance à l'autoconservation. Comme nous l'explique d'ailleurs Nietzsche, quand nous sommes dans l'autoconservation, nous avons tendance à former des groupes instinctifs de sorte à se cacher dans la masse recherchant donc la sécurité. Cependant, nous voyons bien que les circonstances dans un état civil ne nous mène pas à la liberté absolue, ceci est dû au fait que nous avons tous une définition différente du bonheur.
Le désir ne dépend pas de nous, puisqu'il se porte sur des objets ou des personnes que nous savons pertinemment être néfastes pour nous: je sais qu'il n'est pas bon pour moi d'avaler cette plaque de chocolat, pourtant je le ferai, aiguillonné par mon désir. Le désir mène inévitablement au malheur, puisqu'il n'est rarement satisfait: il nous plonge donc dans un état de frustration permanente. Et quand il est satisfait, il nous mène à l'ennui. Dans tous les cas, il nous mène donc au malheur. C'est ce que soutient Schopenhauer, dans le Monde comme volonté et comme représentation: Tout vouloir procède d'un besoin, c'est-à-dire d'une privation, c'est-à-dire d'une souffrance. La satisfaction y met fin; mais pour un désir qui est satisfait, dix au moins sont contrariés; de plus le désir est long et ses exigences tendent à l'infini; la satisfaction est courte et elle est parcimonieusement mesurée. Mais ce contentement suprême n'est lui-même qu'apparent; le désir satisfait fait place aussitôt à un nouveau désir; le premier est une déception reconnue, le second est une déception non encore reconnue.
Maison À Vendre Hoymille, 2024