Avec Bruno Solo au casting. Après France 2, qui a adapté Maman a tort en mini-série de 6x52 minutes (elle sera d'ailleurs présentée à Séries Mania à la fin du mois), c'est au tour de M6 de se lancer dans une adaptation de Michel Bussi. La chaîne va porter à l'écran son best seller, Un avion sans elle, paru en 2012, qui s'est vendu à plus d'un million d'exemplaires en France. L'histoire se déroule sur deux époques. En 1977: une seule survivante dans un crash aérien... un bébé miraculé. Deux familles se battent pour sa garde: une famille riche, une famille modeste. Au terme d'un procès, la garde est finalement confiée à la famille modeste. En 1998: de nouveaux éléments surgissent quant à l'identité de Lylie. Elle n'est peut-être pas celle qu'elle croyait être. Le détective détenteur de ces informations est retrouvé assassiné. Quel secret se cache derrière l'identité de Lylie? Elle va tenter de le découvrir elle-même. L'auteur se dit " ravi " et " emballé " par cette adaptation, dans le communiqué officiel.
Cela suffira-t-il à Marc pour connaître la vérité? C'est avec lui que vous avancerez, pas à pas, à travers le récit de Grand-Duc. On s'identifie et s'attache facilement à ce jeune homme, passionné, protecteur et résolu à trouver la clé de l'énigme qui lui est confiée. Entre 1980 et 1998, ce roman vous plonge au cœur d'une intense enquête. Je n'étais pas très enthousiaste à la lecture des premières pages: pas de sang, pas de meurtrier en série, pas d'histoire à dormir debout et pourtant… Une course contre la montre, des rebondissements imprévisibles vous attendent tout au long de cet ouvrage. Vous pensez avoir trouvé la véritable identité de cette petite fille retrouvée après le crash de 1980? Continuez donc patiemment votre lecture, vous ne pourrez plus vous empêcher de tourner les pages… L'avis de Justine Petite parenthèse avant de démarrer cette chronique, je ne saurais pas dire pourquoi, mais ce qui me plait le plus dans les romans de Bussi, ce sont les couvertures. Je les trouve à la fois simples et très réussies ☺ Un avion sans elle est le deuxième roman de l'auteur que je lis après Nymphéas noirs.
c'est curieux pour une intrigue totalement centrée sur elle… L'auteur dépeint aussi dans Un avion sans elle une certaine forme de lutte des classes, par l'intermédiaire de deux familles que tout oppose – les gérants d'une baraque à frites et les multimillionnaires… Comme dans Nymphéas noirs, les 100 dernières pages sont riches en rebondissements et en révélations. On en devine certaines, mais je dois reconnaître que je n'avais pas deviné la fin, et que Michel Bussi m'aura surprise dans les deux livres. Après, je n'ai pas accroché plus que ça avec les personnages, entre le frère aux tendances incestueuses, la sœur potentielle psychopathe, le détective au nom à coucher dehors… je ne me suis pas attachée à eux et je le regrette. Je retiendrai surtout la capacité de l'auteur à livrer des histoires bien pensées et pleines de surprises; j'ai passé un bon moment de lecture, mais sans plus. Partagez votre lecture dans les commentaires!
En effet, bien que Lylie soit au centre de l'intrigue, elle est absente du roman: à peine ses 18 ans fêtés, elle est partie sans se justifier, ne laissant à son frère que quelques messages évasifs et angoissants. Ce frère, Marc, se met alors en tête de lever à tout prix les doutes qui subsistent sur l'identité de sa sœur. Mais comment y parvenir en l'absence de la principale intéressée? Le gros point faible du livre est finalement sa simplicité, qui produit des personnages assez caricaturaux (l'opposition entre « la famille riche » et « la famille pauvre » étant, par essence, de nature à alimenter une certaine stéréotypie). Comme pour établir un équilibre moral, Michel Bussi leur attribue des traits et des mésaventures qui paraissent presque méritées: l'odieuse petite fille riche devient laide comme un pou en grandissant, les enfants pauvres sont au contraire des modèles de vertu, d'abnégation et de générosité. Au final, les drames qui surviennent trouvent une explication qui relève quasiment de la justice divine.
Prénom: Albert. Un photographe de mariage a priori sans histoire. Il est cueilli par la police à sa descente d'avion, de retour du Japon, et passe aux aveux peu après. La composition exacte de l'équipe de voleurs reste floue. Et si l'implication de certains fait peu de doutes, très peu de personnes seront finalement inquiétées ou condamnées par la justice. La France, elle, découvre alors le fameux « cerveau du casse du siècle », un homme moins lisse et plus sombre qu'il n'y paraît. Ancien para, viré de l'armée après avoir braqué un bar de prostituées en Indochine, Spaggiari est aussi un ancien de l'OAS et un militant d'extrême droite. Ses motivations pour le casse auraient d'ailleurs été politiques et sa part du butin devait servir, selon ses dires, à financer une organisation internationale d'extrême droite. Spaggiari, le faux « cerveau » du casse? Emprisonné aux Baumettes à Marseille, Spaggiari veut et va retrouver la lumière. Lors d'un entretien dans le bureau du juge, à Nice, le 10 mars 1977, il saute par la fenêtre et atterrit quelques mètres plus bas sur le toit d'une voiture.
Du quartier parisien de la Butte-aux-Cailles jusqu'à Dieppe, du Val-de-Marne aux pentes jurassiennes du mont Terrible, le lecteur est entraîné dans une course haletante, jusqu'à ce que les masques tombent. Hasards et coïncidences ne sont-ils que les ricochets du destin? Ou bien quelqu'un, depuis le début, manipule-t-il tous les acteurs de ce drame? articles sur le même thème "DYS et célèbres" avec Guillemette Faure Ils et elles ont dit "Moteur"! Paris, ville fatale #marquepage du 25 mai 2022: échos des livres glanés par Anne-Marie Revol "Labyrinthes", le dernier polar de Franck Thilliez Vu d'Europe Franceinfo sélectionne chaque jour des contenus issus de médias audiovisuels publics européens, membres de l'Eurovision. Ces contenus sont publiés en anglais ou en français.
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