PRÉVENTION DE LA RADICALISATION ET DE L'EXTRÉMISME VIOLENT AU CANADA Le RPC-PREV (Réseau des praticiens canadiens pour la prévention de la radicalisation et de l'extrémisme violent) est un réseau fondé sur les données probantes et centré sur les praticiens, créé pour mettre en avant le leadership canadien et pour développer l'excellence dans la lutte contre la radicalisation violente. Le RPC-PREV soutient les meilleures pratiques et les collaborations entre les équipes d'intervention, par le biais d'une mobilisation continue des connaissances entre les chercheurs, les praticiens, les décideurs politiques et les différents secteurs communautaires. Cartographie Nous identifions les initiatives existantes et examinons le niveau de collaboration multisectorielle par le biais d'une cartographie des différentes initiatives à l'échelle pancanadienne en matière de prévention et d'intervention de la radicalisation et de l'extrémisme violent. SENSIBILISATION Nous renforçons le développement collaboratif de ressources par et pour les praticiens issus de multiples secteurs et disciplines, grâce au renforcement des capacités.
l'essentiel La municipalité a demandé au Montauban boxe anglaise ( MBA) de quitter la salle du complexe Jacques-Chirac. La maire Brigitte Barèges s'en est expliquée, hier soir, au conseil municipal, invoquant un phénomène de radicalisation. Dire que le sujet est sensible est un euphémisme. Au cœur du malaise, le club de boxe de la cité d'Ingres: Montauban boxe anglaise (MBA). La municipalité de Montauban n'a pas pris de gants pour supprimer la subvention (26 546 euros) à cette association sportive, ainsi que la salle qui lui était dévolue au complexe Jacques-Chirac. La raison? Elle a été donnée, hier soir, lors du conseil municipal. Et non pas par l'adjoint au maire plus particulièrement chargé des affaires sportives, mais par un autre adjoint au maire, Gérard Catala, ancien officier de gendarmerie qui suit les dossiers de la Cellule municipale d'échange sur la radicalisation (CMER). Car il semble bien que ce soient des soupçons de "radicalisation" qui aient motivé cette décision.
L'élaboration par la Sûreté du Québec d'une formation en ligne et d'une vidéo de sensibilisation à l'intention des premiers répondants sur le phénomène de la radicalisation et de l'extrémisme violent. La tenue de plusieurs activités de sensibilisation auprès du personnel des services correctionnels en matière de radicalisation et d'extrémisme violent, dont une séance de formation donnée par le CPRMV. La mise sur pied d'un comité de coordination et de suivi présidé par le MSP et réunissant des intervenants du milieu policier et d'autres domaines liés à la sécurité publique afin d'assurer la cohérence des actions de même que le partage d'expériences en matière de lutte contre la radicalisation menant à la violence. L'ajout, en février 2016, d'un volet radicalisation au programme de financement Prévention Jeunesse, qui a permis d'octroyer jusqu'à présent un soutien financier aux YMCA du Québec de même qu'à l'organisme PACT de rue. Vous pouvez consulter le Plan d'action gouvernemental de lutte contre la radicalisation menant à la violence de même que le bilan de sa mise en œuvre sur le site Internet du ministère de l'Immigration, de la Diversité et de l'Inclusion.
Cette configuration ne nous permet pas de travailler normalement, d'autant plus que Brigitte Barèges nous a refusé le droit de se déplacer d'une table à l'autre pour communiquer entre nous, au mépris du règlement intérieur et de la jurisprudence. De plus, aucune réponse, écrite ou orale, n'a été apportée au courrier du 21 avril signé de tous les membres de l'opposition. Dans ces conditions, nous avons pris la décision de ne pas siéger tant que la disposition de la salle ne nous permettra pas de travailler sereinement. "Le communiste Rodolphe Portoles souhaite alerter la préfecture de Tarn-et-Garonne, afin de "rappeler à Mme Barèges les droits de l'opposition. On n'est pas dans une République bananière. "
Maison À Vendre Hoymille, 2024