STEVE MCQUEEN, UNE PASSION POUR LA VITESSE BRUN FREDERIC Editeur: YB Collection: HORS COLL Date de parution: 20/07/2014 [ean: 9782355370564] A commander 39. 95 €
Tout ce qui vient avant ou après n'est qu'attente. » avouait Steve McQueen). C'est brillant, drôle, séduisant: à l'image de ce personnage principal passionné de vitesse comme de la vie tout court. Voici donc, pour vous donner un avant-goût de la chose et avec l'autorisation de l'auteur quelques unes des magnifiques photos illustrant l'ouvrage. On ne s'en lasse pas. PS: Un petit bonheur attend les femmes à la page 83. Steve McQueen, une passion pour la vitesse Frédéric Brun YB Editions 92 pages – 39, 95 € Cet article a bien été enregistré parmi vos favoris. Vous pouvez retrouver tous vos articles enregistrés en cliquant ici Entendu, nous vous proposerons plus d'articles similaires Ajouter à mes favoris Supprimer de mes favoris Lui cuisine Look (Sébastien Tellier)
Steve McQueen s'installe au volant. L'acteur démarre, bien décidé à profiter une fois encore des capacités de l'auto. A vive allure, dans les rues désertes à cette heure avancée de la nuit, le voilà fonçant vers Coldwater Canyon, puis revenant par Mulholland Drive. Le Docteur Sand se cramponne à son siège. Il se rend compte qu'il n'a pas à faire à un amateur. Terminant sa boucle, McQueen, toujours sans dire un mot, écrase les freins et stoppe le roadster tout près de sa Ford. …/… Dernières sensations avant de passer à plus sérieux. En effet, Steve McQueen décide alors de s'offrir une nouvelle auto. Pour la première fois de sa vie il achète une voiture neuve. Ce sera une Porsche 356 super speedster. Noire, montée sur des roues Rudge a serrage par moyeu central, comme sur une voiture de course, la décapotable a fière allure. Avec quelques autres, la Jaguar XK 120, la Chevrolet Corvette, ou l'Austin Healey, notamment, la Porsche 356 est l'archétype de la « petite » voiture de sport puissante des années cinquante.
Mais ce ne fut pas le cas, et ça ne risquait pas de l'être, puisque le film a coûté dix millions de dollars. McQueen avait pourtant tourné des scènes en juin, lors de la véritable épreuve, des scènes de courses et montrant le public, ensuite montées dans le film pour le rendre plus « vrai ». On y voit des rushs, et bien évidemment, des plans saisissants sur la manière de filmer la vitesse sur la piste avec notamment cette voiture qui embarque trois caméras afin de donner encore plus la sensation d'y être. Sur cette image, le « lieutenant » entame une marche arrière, tambour battant, dans « Bullitt ». A 10 ans, sur ce circuit du Mans, en y arrivant en juin 1970, lors du tournage du film. J'y ai appris la mécanique, rencontré une communauté d'aficionados et gagné de gros pourboires. Comme le raconte Alltounian dans un documentaire sur Steve McQueen en 2015 « The Man & Le Mans », lorsque McQueen a remis la montre à Haig, il lui a dit "merci de m'avoir gardé en vie durant ces derniers mois".
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