Publié le 04/10/2021 à 05:06, mis à jour à 05:08 Le Réseau Anais (associations nîmoises d'actions et d'interventions sociales) organise une série de micro-événements depuis le 4 octobre et jusqu'au dimanche 17 du même mois dans le cadre de l'opération Urgence Pauvreté(s). Il s'agit d'éveiller les consciences sur les problématiques de précarité à Nîmes, sixième ville la plus pauvre de France avec 29% de sa population sous le seuil de pauvreté et un taux de chômage à 22%, et d'inventer de nouvelles solidarités. Grand débat nimes.cci. Le temps fort d'Urgence pauvreté(s) aura pour cadre la journée du samedi 16 octobre avec, place Saint-Charles, de nombreux intervenants dans le cadre d'une mobilisation citoyenne. "Sensibiliser, débattre, s'exprimer et participer à la construction de solutions durables et solidaires sont les motivations de cet événement", décrivent les organisateurs. Des tables rondes ouvertes à toutes et à tous aborderont différents thèmes ce samedi-là: la grande précarité, santé et logement (la rue, un choix, une vie?
Ils sont 85% à l'avoir trouvée plus convaincante que le président sortant. Le Grand Débat National arrive à Nîmes - Le Mouvement. Et les électeurs de Jean-Luc Mélenchon alors? D'après l'institut Elabe, ils ont trouvé Emmanuel Macron plus convaincant à 61% contre 39% pour Marine Le Pen. A lire aussi: Débat Macron-Le Pen: programme contre programme, ce qu'il faut retenir des propositions des deux candidats Cette enquête menée après le débat permet aussi d'apprendre qu'Emmanuel Macron a été jugé plus dynamique par 49% des téléspectateurs (31% pour Marine Le Pen), le plus sincère à 36% (34% pour Marine Le Pen), avec le meilleur projet à 44% (contre 31% pour Marine Le Pen) mais aussi le plus arrogant à 50% (contre Marine Le Pen). La candidate du RN, de son côté, a été jugée la plus inquiétante par 50% des téléspectateurs interrogés (contre 25% pour Emmanuel Macron), la plus proche des préoccupations des Français à 37% (contre 34% pour Emmanuel Macron) et comme étant celle qui peut changer le plus de choses à 51% (contre 29% pour Emmanuel Macron).
Une intervenante en a alors expliqué la raison « intégrer la citoyenneté dans le cursus scolaire a déjà été débattu il y a plusieurs années, et il a été décidé que l'école était un lieu neutre, un lieu d'apprentissage des savoirs, et pas forcément de ce type de questions. Que cela semble être en train de changer » et de rajouter « qu'il y a 20 ans, l'idéologie dominante était de laisser les enfants dans un univers d'apprentissage qui ne les formatait pas. » Le rôle du député a aussi été évoqué. Grand débat national à Montpellier : cahiers de doléances des citoyens, mode d'emploi - midilibre.fr. Madame Dumas a répondu que contrairement à ce que les gens semblent penser, les députés ne sont pas déconnectés de la réalité. Pour cela, elle a rappelé son propre parcours, elle qui a été élue à l'âge de 50 ans et qui travaillait avant sa première mandature dans le milieu social. Ajouter à cela, pêle-mêle, le vote blanc, la désindexation des pensions des retraités, une demande moratoire sur l'article 123 du traité de Lisbonne, les problèmes d'habitat, la difficulté des travailleurs précaires et la démocratie locale, l'ISF et le CICE.
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