Depuis les débuts de…. Explication de texte de nietzsche 1831 mots | 8 pages Explication de texte, La généalogie de la morale de Nietzsche Les questionnements liés à l'homme et son comportement en société sont intemporels; cet extrait de La généalogie de la morale écrit par Nietzsche en 1887 est un travail singulier sur les conséquences de la société sur le comportement de l'homme. Nietzsche, dans son écrit, cherche l'origine de la mauvaise conscience humaine. il désigne la vie en société responsable de celle-ci car elle réprimerait nos mauvais instincts les transformant…. Malaise dans la civilisation - Commentaire de texte - Laurine Baurin. Freud, malaise dans la civilisation 1375 mots | 6 pages commises par leur conjoint ou ex-conjoint, est estimé à 213 000 femmes. Ces chiffres nous montrent l'intensité de l'agressivité de l'homme. La civilisation permet de recadrer ses pulsions d'agression mais ne les stoppent pas. Freud souligne ici qu'il existe, pour tout homme, des pulsions d'agression ou de mort. Ainsi, la question à laquelle l'auteur répond dans son texte est comment est-il possible de stopper les atrocités naturelles pour améliorer la société?
A. La comparaison: la culture de son jardin La précision donnée dès la première ligne du texte indique que le discours qui suit concerne la très grande majorité des hommes. En effet, Freud parle de l'ensemble des individus qui n'ont pas de dons innés pour la création artistique. Freud souligne que la création artistique peut être l'occasion d'une réorientation des intérêts vitaux. Etude, Freud, malaise dans la civilisation, commentaire, bac, philosophie. Léonard de Vinci, qui aurait ainsi sublimé son homosexualité, en est un exemple emblématique. Les individus en général, dans le cadre du « travail professionnel », c'est-à-dire d'un métier socialement reconnu, peuvent donner une orientation à leurs « intérêts vitaux », qui représentent l'ensemble de leurs pulsions. L'avantage est que ce procédé est démocratique: il est « accessible à chacun ». Le travail peut remplir le même rôle que la « culture de notre jardin, culture que Voltaire nous conseille si sagement ». En effet, dans le conte philosophique Candide ou l'Optimisme, le personnage principal en arrive à cette conclusion, après avoir rencontré un humble paysan turc soutenant que « le travail éloigne de nous trois grands maux: l'ennui, le vice, et le besoin ».
Car les pratiquants sont persuader d'un salut, et font selon les religions des sacrifices afin d'être sûr de l'atteindre. Est-ce que le simple fait d'avoir la foi pour un chrétien peut le rendre heureux car il est assuré de son salut? Explication de texte philo freud malaise dans la civilization des. [... ] Cela supposerai donc que le bonheur est une quête de l'homme, mais qui restera dans tous les cas provisoire et non pas durable. Freud nous montre en effet que l'on n'est pas satisfait de manière durable mais dans de courte durée, épisodique Toute persistance d'une situation [] assez tiède cela signifie que le bonheur disparait non pas parce que le motif, l'objet de ce bonheur a disparu, mais parce que la situation se prolonge et devient banale. Comme la situation qui a permis le bonheur devient banale il n'y a plus de bonheur, par conséquent il faut du nouveau du contraste donc du changement par rapport à la situation précédente et c'est cette rupture de situation qui permet selon Freud d'obtenir la jouissance. ] De plus selon Freud la souffrance et le malheur nous menace de trois côtés, en effet notre propre corps qui, destiné à la déchéance et la dissolution donc à la vieillesse et à la mort.
Premièrement, l'Etat est, comme le dit Hegel dans Principe de la philosophie du droit, une puissance élevée qui doit faire en sorte que le citoyen extrait ses intérêts particuliers pour l'intérêt général. L'Etat doit donc faire en sorte que les hommes oublient leur agressivité pour pouvoir penser collectif donc vivre collectivement. L'Etat doit donc priver les hommes de certaines libertés nuisibles en, je cite, « dressant des barrières devant les instincts agressifs». Pour cela l'Etat décide de priver les libertés nuisibles par un contrat social comme celui de Rousseau qui dit que mieux cet Etat est constitué, plus le public l'emporte sur le privé. Pour Freud la privation de ces libertés qu'il qualifie de « méthodes » incite les humains à des « identifications » pour Freud, cette solution n'est pas la seule puisqu'elle comporte des limites notamment la principale qui d'après Kant est qu'un homme à toujours besoin d'un maître. IPhilo » Malaise dans la civilisation. Effectivement, l'être humain à besoin d'une puissance supérieure qui puisse le canaliser or ce maître, à son tour, à lui-même besoin d'un maitre qui ainsi de suite aura besoin d'un autre maître.
Ce n'est donc pas de l'ordre du choix individuel. Cette fatalité ne désigne pas, pour autant, un projet de la nature. Il s'agit tout au plus d'une nécessité inéluctable qui détermine l'individu à entrer en commerce avec les autres. [Transition] Comment le travail peut-il réaliser cette intégration? 2. Des pulsions libidinales transférées dans le travail A. Explication de texte philo freud malaise dans la civilization france. La valeur du travail pour l'individu Une « possibilité », une occasion propice, existe: celle de « transférer », c'est-à-dire de déplacer et de réorienter autrement que par une réalisation immédiate, les « composantes narcissiques, agressives, voire érotiques de la libido dans le travail professionnel et les relations sociales qu'il implique ». Le métier peut donc être l'occasion d'offrir un but plus élevé et socialement acceptable aux dimensions asociales de la libido. Il ne s'agit pas de censurer les pulsions, mais de leur tracer une autre voie de réalisation. Les pulsions de l'individu sont narcissiques et peuvent conduire celui-ci à des comportements violents envers les autres individus.
La genèse de graves problèmes sociaux De là découlent deux conséquences fâcheuses: d'une part, « la grande majorité des hommes ne travaillent que sous la contrainte de la nécessité ». Ce rapport au travail empêche l'individu de jouir des bénéfices que le travail pourrait produire en vue du bonheur; d'autre part, cette « aversion naturelle » pour le travail, qui désigne une tendance à la paresse et l'attirance des individus vers une satisfaction plus immédiate et directe de leurs pulsions, engendre « les problèmes sociaux les plus ardus ». En effet, c'est la société entière qui finit par pâtir de cette aversion: souvent, les individus conservent dans leur existence sociale des pulsions asociales, susceptibles de produire de graves tensions et conflits. Conclusion Le travail social n'est pas qu'une réponse adaptée à des nécessités biologiques. Le métier librement choisi permet de sublimer des pulsions asociales et de conduire au bonheur. Néanmoins, les individus éprouvent une aversion naturelle pour le travail.
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