- Le vrai peut quelquefois n'être pas vraisemblable. (Boileau) - Qu'en un lieu, qu'en un jour, un seul fait accompli, Tienne jusqu'à la fin le théâtre rempli. - Le théâtre soutient l'âme. (Charlie Chaplin) - La comédie n'est qu'un portrait de nos actions et de nos discours, et la perfection des portraits consiste en la ressemblance. (Pierre Corneille) - Je ne craindrais pas d'avancer que le sujet d'une belle tragédie doit n'être pas vraisemblable. "Une pièce de théâtre devrait être écrite, décorée, costumée, accompagnée de musique, jouée, dansée par un seul homme. Cet athlète complet n'existe pas. Il importe donc de remplacer l'individu par ce qui ressemble le plus à un individu: un groupe amical. (Jean Cocteau) - Par la comédie, par la tragédie, par le drame, par la bouffonnerie, dans la forme qui nous conviendra le mieux, inaugurons donc le théâtre utile, au risque d'entendre crier les apôtres de l'art pour l'art, trois mots absolument vides de sens. Poésie sur le thème du théâtre film. (Alexandre Dumas fils) - C'est une extraordinaire chose que le théâtre.
On jouait un opéra-bouffe. C'est le nom qu'on donne aujourd'hui Aux farces impures dont pouffe Notre siècle si fier de lui. On riait très fort. La machine Était bête, et sale souvent, Et se passait dans cette Chine De théâtre et de paravent. Poussahs, pagodes et lanternes, Vous voyez la chose d'ici. Et les Athéniens modernes Bissaient les plus honteux lazzi. Deux mandarins - on pâmait d'aise A ce comique et fin détail - Étaient l'un maigre et l'autre obèse Et coquetaient de l'éventail; Et la convoitise sournoise Des messieurs chauves et pesants Lorgnaient une jeune Chinoise Agée à peine de seize ans. Poème Au théâtre - François Coppée. Adorable, l'air un peu bête, Toute de gaze et de paillon, Deux épingles d'or sur la tête, Elle semblait un papillon. Elle n'était pas même émue Et, toute rose sous son fard, Forçait sa frêle voix en mue Qu'étouffait l'orchestre bavard. C'était bien la grâce éphémère, L'enfance, la gaîté, l'essor, Et l'on devinait que sa mère Ne l'avait pas vendue encor. Je me sentais rougir de honte Quand elle disait certains mots, Comme la princesse du conte Qui crachait serpents et crapauds.
(Antonin Artaud) - Les anachronismes au théâtre, ça fait toujours très avant-garde. (Marcel Aymé) - Qu'est-ce que la théâtralité? C'est le théâtre moins le texte, c'est une épaisseur de signes et de sensations qui s'édifient sur la scène à partir de l'argument écrit. (Roland Barthes) Théâtre antique d'Orange; image Gromelle Grand Angle, Wikipédia CC. - Le théâtre est un géant qui blesse à mort tout ce qu'il frappe. (Beaumarchais) - Les larmes que l'on verse au théâtre, sur des maux simulés, qui ne font pas le mal de la réalité cruelle, sont bien douces. On est meilleur quand on se sent pleurer. Poésie sur le thème du théâtre de la. On se trouve si bon après la compassion. - Que poursuivrait-on au théâtre? les travers et les ridicules? Cela vaut bien la peine d'écrire! ils sont chez nous comme les modes; on ne s'en corrige point, on en change. Les vices, les abus, voilà ce qui ne change point, mais se déguise en mille formes sous le masque des mœurs dominantes: leur arracher ce masque et les montrer à découvert, telle est la noble tâche de l'homme qui se voue au théâtre.
Le coq du peuple souverain Redressera sa crête, Le long des frontières du Rhin... Oui, je le lui souhaite! On promet des amendements A nos taxes trop dures; On sape les gros traitements, Les grasses sinécures. L ' Amérique sur nos écus N' enverra plus de traite; Les princes ne quêteront plus... Notre théâtre n'est plus veuf Veuf de la tragédie. Recherche poésie(s) sur le thème du théâtre - Français - Forums Enseignants du primaire. Il en naît une à l' esprit neuf, A la sphère agrandie. Dumas de sa mémoire l'eût, C'est Ida qui l' allaite, Et l'art en attend son salut... Qui trop embrasse mal étreint, Nous dit un vieil adage, Je vais d'un souhait plus restreint Français, vous faire hommage. Par les complots qu'on voit pleuvoir, Puisse dans sa couchette Chacun de vous dormir ce soir... Oui, je vous le souhaite! Mes souhaits de bonne année Poèmes de Agénor Altaroche Citations de Agénor Altaroche Plus sur ce poème | Voter pour ce poème | 158 votes < 2 Les poèmes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z Les poètes Z
Ainsi je caressais une folle chimère. Devant moi cependant, à côté de sa mère, L'enfant restait toujours, et le cou svelte et blanc Sous les longs cheveux noirs se berçait mollement. Le spectacle fini, la charmante inconnue Se leva. Le beau cou, l'épaule à demi nue, Se voilèrent; la main glissa dans le manchon; Et, lorsque je la vis au seuil de sa maison S'enfuir, je m'aperçus que je l'avais suivie. Hélas! mon cher ami, c'est là toute ma vie. Pendant que mon esprit cherchait sa volonté, Mon corps savait la sienne et suivait la beauté; Et, quand je m'éveillai de cette rêverie, Il ne m'en restait plus que l'image chérie: " Sous votre aimable tête, un cou blanc, délicat, Se plie, et de la neige effacerait l'éclat. Poésie sur le thème du théâtre du. "
3 poèmes < 2 Phonétique (Cliquez pour la liste complète): âtre étaiera étaierai étaierais étaierait étaieras étêter étêtera étêterai étêterais étêterait étêteras éther éthéré éthérée éthérées éthérés éthérisé éthers étier étiers étira étirai étirais étirait étiras étirât étire étiré... Bel astre voyageur, hôte qui nous arrives Des profondeurs du ciel et qu'on n' attendait pas, Où vas-tu? Quel dessein pousse vers nous tes pas? Toi qui vogues au large en cette mer sans rives, Sur ta route, aussi loin que ton regard atteint, N ' as-tu vu comme ici que douleurs et misères? Dans ces mondes épars, dis! avons-nous des frères? T ' ont-ils chargé pour nous de leur salut lointain? Cherche poème sur le théâtre. Ah! quand tu reviendras, peut-être de la terre L ' homme aura disparu. Du fond de ce séjour Si son œil ne doit pas contempler ton retour, Si ce globe épuisé s'est éteint solitaire, Dans l' espace infini poursuivant ton chemin, Du moins jette au passage, astre errant et rapide, Un regard de pitié sur le théâtre vide De tant de maux soufferts et du labeur humain.
La lâcheté nous bride, et les sots vont disant Que, sous ce vieux soleil, tout est fait à présent; Comme si les travers de la famille humaine Ne rajeunissaient pas chaque an, chaque semaine. Notre siècle a ses moeurs, partant, sa vérité; Celui qui l'ose dire est toujours écouté. Ah! j'oserais parler, si je croyais bien dire, J'oserais ramasser le fouet de la satire, Et l'habiller de noir, cet homme aux rubans verts, Qui se fâchait jadis pour quelques mauvais vers. S'il rentrait aujourd'hui dans Paris, la grand'ville, Il y trouverait mieux pour émouvoir sa bile Qu'une méchante femme et qu'un méchant sonnet; Nous avons autre chose à mettre au cabinet. Ô notre maître à tous, si ta tombe est fermée, Laisse-moi dans ta cendre, un instant ranimée, Trouver une étincelle, et je vais t'imiter! J'en aurai fait assez si je puis le tenter. Apprends-moi de quel ton, dans ta bouche hardie, Parlait la vérité, ta seule passion, Et, pour me faire entendre, à défaut du génie, J'en aurai le courage et l'indignation!
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